©Verratti prend beaucoup de risques dans son jeu, en tentant notamment parfois des dribbles dans la surface. Photo Anne-Christine Poujoulat AFP
Méconnu à son arrivée, devenu chouchou du Parc des Princes, Marco Verratti fête lundi les 10 ans de son arrivée au Paris SG. Celui qui est surnommé "Petit Hibou" a rarement mâché ses mots. Retour sur une décennie au fil de ses meilleures déclarations.
"Je suis un peu un anonyme ici"
18 juillet 2012. Alors que la foule n'attend qu'un certain Zlatan Ibrahimovic, recrue phare des nouveaux propriétaires qatariens du club, Verratti débarque le même jour à Paris.
Acheté "seulement" 11 millions d'euros, quasi inconnu, le natif de Pescara de 19 ans, visage enfantin et yeux bleu vif, le sait, il est "un peu un anonyme ici, contrairement aux autres champions qui évoluent au PSG".
"Je suis un peu étrange"
Excellent conservateur de ballon, propre à la relance, le petit Italien n'est pas à son aise quand vient le moment de se muer en buteur. Une caractéristique qui peut agacer mais qu'il assume en 2014 dans une interview accordée au quotidien sportif français L'Equipe: "Que voulez-vous, je suis un peu étrange... Quand je suis dans ma moitié de terrain, je me sens plus en sécurité. Je ne sais pas toujours quoi faire, plus haut sur le terrain, quand on a une occasion chaude."
"Marco, fais ce que tu veux"
Adepte de la prise de risque, jusqu'à tenter des dribbles dans sa propre surface, Verratti a souvent fait peur à ses entraîneurs. En février 2022, toujours dans L'Equipe, il évoque l'ancien technicien du PSG Carlo Ancelotti (2011-2013) qui a d'abord tenté de lui faire entendre raison avant de se raviser: "Plus tard il m'a dit: Bon d'accord Marco, fais ce que tu veux parce que je sais que c'est ton jeu. Soit je te laisse sur le banc, soit j'accepte qui tu es".
Quelques années plus tôt déjà, le natif de Pescara assumait devant l'AFP: "C'est mon style, il ne changera jamais".
"Les promesses ne suffisent pas"
Au terme d'une saison 2016-2017 marquée par la perte du titre de champion de France face à Monaco et la "remontada" (6-1) européenne subie à Barcelone, le temps est aux doutes. Convoité précisément par le Barça, l'Italien déclare à La Gazzetta Dello Sport: "Chaque année, ils disent qu'ils vont faire une grande équipe mais ensuite on a vu les résultats" ajoutant que "les promesses ne suffisent pas".
S'il n'évoque pas directement un transfert, l'été mouvementé autour des rumeurs de son départ le poussent à faire ses excuses en vidéo sur le site du PSG et à se séparer de son agent de l'époque, Donato Di Campli.
"On s'est fait chier dessus avec les arbitres"
Défait à Nantes 3-1, lors de la 25e journée du championnat de France en février dernier, Verratti, bien connu pour récolter les cartons jaunes, s'emporte au micro de Canal+ et fustige les décisions arbitrales de M. Mikaël Lesage : "Parfois les arbitres, il faut prendre les responsabilités, parce que là on s'est fait chier dessus avec les arbitres".
Un coup de gueule qui lui vaudra d'écoper d'un match de suspension ferme et un avec sursis.
"Quelque chose que je ne comprends pas"
Face à la colère des ultras parisiens, en grève après l'élimination lors des huitièmes de finale de Ligue des champions face au Real Madrid en mars, puis lors du titre acquis face à Lens, Marco Verratti ne cache pas sa déception : "C'est quelque chose que je ne comprends pas, on essaie toujours, avec le coeur. (...) Je sais qu'ils ont été déçus pour Madrid, mais à un moment donné il faut passer à autre chose." Des paroles qui ne seront pas suivies d'effet parmi les ultras avant l'ultime journée, soir d'hommage à Angel Di Maria et de prolongation de Kylian Mbappé.
"Je suis un peu un anonyme ici"
18 juillet 2012. Alors que la foule n'attend qu'un certain Zlatan Ibrahimovic, recrue phare des nouveaux propriétaires qatariens du club, Verratti débarque le même jour à Paris.
Acheté "seulement" 11 millions d'euros, quasi inconnu, le natif de Pescara de 19 ans, visage enfantin et yeux bleu vif, le sait, il est "un peu un anonyme ici, contrairement aux autres champions qui évoluent au PSG".
"Je suis un peu étrange"
Excellent conservateur de ballon, propre à la relance, le petit Italien n'est pas à son aise quand vient le moment de se muer en buteur. Une caractéristique qui peut agacer mais qu'il assume en 2014 dans une interview accordée au quotidien sportif français L'Equipe: "Que voulez-vous, je suis un peu étrange... Quand je suis dans ma moitié de terrain, je me sens plus en sécurité. Je ne sais pas toujours quoi faire, plus haut sur le terrain, quand on a une occasion chaude."
"Marco, fais ce que tu veux"
Adepte de la prise de risque, jusqu'à tenter des dribbles dans sa propre surface, Verratti a souvent fait peur à ses entraîneurs. En février 2022, toujours dans L'Equipe, il évoque l'ancien technicien du PSG Carlo Ancelotti (2011-2013) qui a d'abord tenté de lui faire entendre raison avant de se raviser: "Plus tard il m'a dit: Bon d'accord Marco, fais ce que tu veux parce que je sais que c'est ton jeu. Soit je te laisse sur le banc, soit j'accepte qui tu es".
Quelques années plus tôt déjà, le natif de Pescara assumait devant l'AFP: "C'est mon style, il ne changera jamais".
"Les promesses ne suffisent pas"
Au terme d'une saison 2016-2017 marquée par la perte du titre de champion de France face à Monaco et la "remontada" (6-1) européenne subie à Barcelone, le temps est aux doutes. Convoité précisément par le Barça, l'Italien déclare à La Gazzetta Dello Sport: "Chaque année, ils disent qu'ils vont faire une grande équipe mais ensuite on a vu les résultats" ajoutant que "les promesses ne suffisent pas".
S'il n'évoque pas directement un transfert, l'été mouvementé autour des rumeurs de son départ le poussent à faire ses excuses en vidéo sur le site du PSG et à se séparer de son agent de l'époque, Donato Di Campli.
"On s'est fait chier dessus avec les arbitres"
Défait à Nantes 3-1, lors de la 25e journée du championnat de France en février dernier, Verratti, bien connu pour récolter les cartons jaunes, s'emporte au micro de Canal+ et fustige les décisions arbitrales de M. Mikaël Lesage : "Parfois les arbitres, il faut prendre les responsabilités, parce que là on s'est fait chier dessus avec les arbitres".
Un coup de gueule qui lui vaudra d'écoper d'un match de suspension ferme et un avec sursis.
"Quelque chose que je ne comprends pas"
Face à la colère des ultras parisiens, en grève après l'élimination lors des huitièmes de finale de Ligue des champions face au Real Madrid en mars, puis lors du titre acquis face à Lens, Marco Verratti ne cache pas sa déception : "C'est quelque chose que je ne comprends pas, on essaie toujours, avec le coeur. (...) Je sais qu'ils ont été déçus pour Madrid, mais à un moment donné il faut passer à autre chose." Des paroles qui ne seront pas suivies d'effet parmi les ultras avant l'ultime journée, soir d'hommage à Angel Di Maria et de prolongation de Kylian Mbappé.
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