Selon des informations sur la visite de l’envoyé présidentiel français au Liban, Jean-Yves Le Drian, à la capitale saoudienne Riyad, ainsi que ses rencontres avec le ministre conseiller à la Cour royale en charge du dossier libanais, Nizar Al-Aloula, et l’ambassadeur d’Arabie Saoudite au Liban, Walid al-Boukhari, l’Arabie Saoudite maintient toujours sa position quant à la crise présidentielle au Liban. Elle n’appuie pas un candidat spécifique et n’intervient pas dans le processus de sélection des noms.

L’Arabie Saoudite estime qu’il appartient aux Libanais de choisir leur président et se concentre sur un candidat qui répondrait aux critères déterminés par le Quintette composé des États-Unis, de l’Arabie Saoudite, de la France, du Qatar et de l’Égypte.

De plus, l’Arabie saoudite ne priorise ni l’élection ni le dialogue préalable à cette élection.