L’agence de notation, Fitch Ratings, a maintenu le Liban «en défaut restreint de paiement» (RD) sur sa dette publique de long terme en devises étrangères, conséquence du défaut de paiement des euro-obligations arrivées à échéance le 9 mars 2020.
Ainsi, l’agence de notation financière américaine à vocation internationale a conservé, mardi, la note du Liban à RD, ce qui indique que le Liban est toujours incapable de rembourser ses dettes.
Dans le communiqué, Fitch Ratings a assuré que «le Liban reste en défaut sur ses obligations d’État à long terme en devises étrangères, à la suite du défaut de paiement des eurobonds, s’élevant à un montant de 1,2 milliard de dollars en mars 2020».
La note «en défaut restreint de paiement» (RD) est donnée à une entité lorsque celle-ci manque à un ou plusieurs engagements financiers, mais continue à honorer d’autres obligations financières.
Fitch souligne que la note RD reflète le fait que le gouvernement n’a pas repris le paiement des intérêts sur les avoirs de la Banque du Liban (BDL) en titres en monnaie locale émis par le gouvernement.
En outre, le Liban, toujours selon Fitch, a un faible classement WBGI (Indicateurs de gouvernance de la Banque mondiale) à 14,8, reflétant l’absence d’un historique récent de transitions politiques pacifiques, des droits relativement faibles de participation au processus politique, une faible capacité institutionnelle, une application inégale de l’état de droit et un niveau élevé de corruption.
Par ailleurs, l’agence de notation a révélé qu’elle allait «retirer les notes du Liban», parce qu’elle «ne dispose plus d’informations suffisantes pour maintenir les notes en raison de l’indisponibilité de certaines données clés».
Par conséquent, Fitch cesserait de fournir des notes, ou une couverture analytique, pour le Liban. «Ces notes ne sont pas sollicitées et l’émetteur n’a aucune obligation de fournir des informations», soutient l’agence.
Ainsi, l’agence de notation financière américaine à vocation internationale a conservé, mardi, la note du Liban à RD, ce qui indique que le Liban est toujours incapable de rembourser ses dettes.
Dans le communiqué, Fitch Ratings a assuré que «le Liban reste en défaut sur ses obligations d’État à long terme en devises étrangères, à la suite du défaut de paiement des eurobonds, s’élevant à un montant de 1,2 milliard de dollars en mars 2020».
La note «en défaut restreint de paiement» (RD) est donnée à une entité lorsque celle-ci manque à un ou plusieurs engagements financiers, mais continue à honorer d’autres obligations financières.
Fitch souligne que la note RD reflète le fait que le gouvernement n’a pas repris le paiement des intérêts sur les avoirs de la Banque du Liban (BDL) en titres en monnaie locale émis par le gouvernement.
En outre, le Liban, toujours selon Fitch, a un faible classement WBGI (Indicateurs de gouvernance de la Banque mondiale) à 14,8, reflétant l’absence d’un historique récent de transitions politiques pacifiques, des droits relativement faibles de participation au processus politique, une faible capacité institutionnelle, une application inégale de l’état de droit et un niveau élevé de corruption.
Par ailleurs, l’agence de notation a révélé qu’elle allait «retirer les notes du Liban», parce qu’elle «ne dispose plus d’informations suffisantes pour maintenir les notes en raison de l’indisponibilité de certaines données clés».
Par conséquent, Fitch cesserait de fournir des notes, ou une couverture analytique, pour le Liban. «Ces notes ne sont pas sollicitées et l’émetteur n’a aucune obligation de fournir des informations», soutient l’agence.
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