Les activistes de la diaspora libanaise ont remporté haut la main deux batailles, celle du droit de voter suivant leur région d’origine et non pour 6 députés les représentant, et celle de l’inscription du plus grand nombre d’électeurs possibles durant le court délai imparti par la loi. Cependant, certaines rumeurs font état d’une nouvelle tentative de certaines factions de confisquer le droit de voter  " pour les 128  " députés, et de limiter les voix des émigrés à une 16eme circonscription créée pour eux à l’étranger. Les regroupements d’expatriés rejettent en bloc cette possibilité, suspectant une tentative de les marginaliser, ou même de reporter le scrutin prévu en mai prochain.