L’ancien ministre et député Michel Pharaon a estimé que "le jour de l’Indépendance n’était pas une fête cette année, mais plutôt comme une occasion de souligner l’engagement des Libanais à défendre les principes de souveraineté et d’indépendance".
Dans le cadre d’un meeting dimanche à Achrafieh, M. Pharaon a indiqué que "le pessimisme n’est pas synonyme de résignation, mais plutôt un appel à l’action, bien que les caractéristiques du Liban aient été inversées sous ce mandat".
"Le pouvoir judiciaire, symbole de la justice, est victime d’une attaque et assiégé pour empêcher tout procès, le port, symbole de réussite économique, est devenu celui de la destruction du pays, la démocratie qui symbolise la liberté et le renouveau est suspendue, la condition étant, pour la tenue des élections, que la majorité actuelle retourne au pouvoir (…)", a-t-il noté.
"Ils cherchent à détruire le message du Liban, mais nous n’avons d’autre choix que de le défendre et le préserver", a conclu M. Pharaon.
