Le président du syndicat des hôpitaux au Liban, Sleiman Haroun a affirmé lundi " travailler avec de nombreux garants et partenaires pour que le secteur hospitalier subisse le moins de dommages possibles en 2023, en raison de la crise politique et économique que traverse le pays ".

M. Haroun a par ailleurs noté que le taux d’hospitalisation a nettement baissé, jusqu’à atteindre les 40%, " ce qui démontre qu’une grande partie des Libanais ne peuvent pas se permettre d’être hospitalisés, à cause des frais qui doivent être payés soit en dollars frais soit par l’intermédiaire de compagnies d’assurance ".