Michel Sleiman, ancien président de la République, sur Twitter: " A l’ère de la mondialisation et du développement des technologies de l’information et de la communication, il est honteux de créer une circonscription pour les expatriés, d’autant plus que leur nombre est en progression constante et leur influence sur le processus électoral va de pair. Il aurait été plus judicieux de renvoyer l’appel à l’unanimité des membres, mais au royaume des aveugles le borgne est roi, et l’échec du Conseil constitutionnel à prendre une décision reste mieux que de valider l’appel. "

Georges Adwan, membre du bloc de la " République forte " (FL) sur Twitter: " Le Conseil constitutionnel est resté en marge des tractations, et c’est un point d’honneur pour ses membres qui ont campé sur leur position. Le droit constitutionnel et légal des expatriés de voter pour 128 sièges a triomphé. Il n’en demeure pas moins que cette manœuvre restera gravé dans la mémoire des expatriés pour sanctionner ce pouvoir autoritaire qui les a chassés de leur pays et a essayé de les exclure jusqu’à la dernière minute. "

Imad Wakim, membre du bloc de la " République forte " : " La volonté des expatriés de voter aux prochaines élections législatives dans leurs propres circonscriptions a triomphé sur la tentative de les exclure de leur patrie ; ils vous sanctionneront ".

Ghassan Hasbani, ancien vice-président du Conseil, sur Twitter : " Le Conseil constitutionnel est resté à l’abri des tractations politiques et a consacré le droit des expatriés à voter dans leur circonscription à partir de leur pays de résidence, pour insuffler un réel changement. C’est un pas positif supplémentaire en direction des élections législatives. "

Hadi Aboul-Hosn, secrétaire du bloc du " Rassemblement démocratique ", sur Twitter: " L’espoir restera vivace et les tentatives de soumission ne passeront pas. Aujourd’hui, le droit des expatriés de voter dans leurs 15 circonscriptions a été confirmé, dans une confrontation qui a commencé au sein du Parlement lorsque nous avons voté les amendements et la décision de ne pas démissionner s’avère judicieuse. Aujourd’hui, nous sommes en marche vers les élections législatives en mai pour choisir le Liban que nous voulons ".

Joseph Ishak, membre du bloc la " République forte ", sur Twitter: " Le droit des expatriés de voter pour 128 députés a été confirmé. Vos tractations suspectes ne passeront pas, et la justice finit toujours par triompher ".

Camille Chamoun, chef du Parti national libéral, sur Twitter: " J’appelle les émigrés à voter massivement et à exercer leur droit au changement. "

Michel Moawad, chef du mouvement de l’Indépendance et député démissionnaire: " Félicitations aux Libanais dans le monde, qui ont préservé leur droit chacun dans sa circonscription en tant que citoyens disposant de tous leurs droits. Nos batailles ne sont pas terminées. Nous devons poursuivre la lutte afin de fixer la date des élections, ne permettre aucun report sous aucun prétexte, assurer le taux le plus élevé de participation au Liban et à l’étranger et ne pas faiblir dans notre combat pour protéger le pouvoir judiciaire et la justice des tentatives de coups d’Etat du pouvoir. "

Farès Souhaid, porte-parole du Rassemblement de Saydet el-Jabal: " Si même Gebran Bassil n’a plus de place dans l’Etat du Hezbollah… qu’en serait-il des autres… "

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