Michèle Alliot-Marie, ancienne ministre française de la Défense, a souligné que Jacques Chirac, ancien président de la République (1995-2007), "était convaincu que ce sont le Hezbollah et le régime syrien qui ont assassiné" l’ancien Premier ministre libanais Rafic Hariri, le 14 février 2005.

"Le régime syrien a exercé de nombreuses pressions sur le Tribunal spécial pour le Liban (TSL) pour qu’il ne dévoile pas les noms de responsables syriens dans son verdict final" dans l’affaire de l’assassinat, a-t-elle ajouté, lors d’une intervention dans le dernier épisode de la trilogie "La mémoire politique", diffusé vendredi soir sur la chaîne panarabe al-Arabiya. "C’est ce qui explique la publication par le TSL de deux rapports différents concernant les personnes soupçonnées d’être impliquées dans le crime", a-t-elle conclu.

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