Les protestations contre l’effondrement de la livre libanaise, qui a atteint mercredi matin le taux de 56.000 LL contre un dollar sur le marché parallèle, se sont poursuivies mercredi.

Des manifestants ont coupé plusieurs routes dans le pays, notamment à Baalbeck et Abdé (Akkar). Mardi, des routes à Beyrouth, Tripoli et Saida avaient été bloquées.

Les protestataires, notamment des conducteurs de camions et de Tuk-Tuk, déplorent la détérioration des conditions de vie et la flambée des prix des carburants.

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