Il y a 18 ans, Rafic Hariri était assassiné dans un attentat à la camionnette piégée, près de l’hôtel Saint-Georges, à Beyrouth. L’ancien Premier ministre libanais, devenu le symbole de la prospérité du Liban de l’après-guerre, a dirigé cinq cabinets. Son objectif: faire du pays du cèdre une plaque tournante pour les investisseurs étrangers. Il a notamment contribué à la modernisation de secteurs vitaux tels que l’énergie, les télécommunications et l’hôtellerie. Ici Beyrouth revient en images sur l’histoire d’un homme, d’un dirigeant, mais avant tout d’un patriote qui portait le Liban dans son cœur.
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