Le président du syndicat des hôpitaux privés au Liban, Sleiman Haroun s’est désolé jeudi matin de la situation du secteur hospitalier libanais, affecté par les grèves des fonctionnaires et des banques ainsi que la hausse vertigineuse du dollar sur le marché parallèle. M.Haroun a averti que les " services hospitaliers sont quasiment à l’arrêt " et a indiqué que les patients se retrouvent obligé de " régler une partie de leur facture en dollars frais" pour que les hôpitaux puissent à leur tour payer ce qu’ils doivent à leurs fournisseurs. Et de conclure : " C’est un cercle vicieux. Même les personnes qui ont les moyens ne peuvent plus être hospitalisés "
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