Avec la crise, de vieux métiers ont connu un boum. C’est le cas notamment des couturiers et des cordonniers. Avec la dépréciation de la livre et l’inflation galopante, de nombreux Libanais ont changé leurs habitudes. Dans l’incapacité d’acheter de nouveaux vêtements ou chaussures, ils cherchent à prolonger la vie de ce qu’ils possèdent. Nombreux sont ceux qui ont fait appel aux services de leurs couturières et leurs cordonniers favoris, qu’ils avaient bien longtemps délaissés…