L’ancien directeur de la Sûreté générale (SG) Abbas Ibrahim, proche du tandem Amal-Hezbollah, a écarté la possibilité qu’un président soit élu prochainement, dans un entretien accordé au site " al-Intichar ". Il a estimé que " ceux qui ont annoncé leur soutien à Sleiman Frangié (chef des Marada) ne reviendront pas sur leur décision " en allusion au Hezbollah et au mouvement Amal. 

Selon lui, l’ancien ministre des Finances, Jihad Azour, soutenu par une majorité parlementaire, " aurait mieux fait de ne pas s’engager dans la course à la présidence de la République. M. Ibrahim a essayé, tout comme Amal et le Hezbollah, de minimiser l’importance du soutien parlementaire à M. Azour, en jugeant que  " ceux qui ont appuyé sa candidature l’ont fait pour barrer la route à Sleiman Frangié ".