Le président de la Chambre Nabih Berry est revenu à la charge mercredi, affirmant qu’un "président de la République ne sera pas élu sans entente et dialogue". M. Berry a appelé les différentes parties à "cesser de se rejeter mutuellement la faute et à admettre qu’il est inutile de prolonger le vide présidentiel".

"La politique de déni ne nous mènera pas au résultat que souhaitent les Libanais, nos frères arabes et nos amis dans le monde", a-t-il ajouté dans une déclaration à l’issue de la 12e séance parlementaire pour l’élection d’un président, qui s’est soldée par un échec, et pendant laquelle les députés du Hezbollah et du mouvement Amal ont provoqué un défaut de quorum.

Soulignant que le monde entier attend que les responsables libanais prennent "des actions à la hauteur du pays et des défis qui le menacent, en commençant par élire un président de la République", M. Berry a affirmé, une fois de plus, que cela ne peut se faire "sans une entente et un dialogue".

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