Le chef du bloc parlementaire du Hezbollah, Mohamad Raad, a appelé lundi à un dialogue pour arriver à une issue sur le dossier de la présidentielle.
Dans son appel, M. Raad a quand même insisté sur la candidature de Sleiman Frangié. « Pourquoi retirerons-nous sa candidature ? » a-t-il déclaré.
Le député du Hezbollah a réitéré sa vision personnelle du dialogue en imposant son candidat sans considération pour le candidat de l’autre bord. «Soit nous allons vous convaincre qu’il (M. Frangié) est bien la personne qu’il faut, soit vous nous persuaderez qu’il n’est pas à même pour mener à bien cette étape. Nous sommes là pour vous rassurer » a-t-il souligné.
M. Raad est revenu sur les onze premières séances électorales en rappelant qu’ils (le tandem Amal/Hezbollah) avaient voté blanc pour pousser l’autre camp au dialogue tout en insistant que pour lui « le problème réside dans ceux qui refusent d'élire un président qui rassure la Résistance et qui ne la poignarde pas dans le dos ».
M. Raad a aussi déclaré, dans un raisonnement dichotomique, en s’adressant aux députés de l’opposition, « vous pouvez élire le président que vous voulez, mais nous vous demandons de parvenir à un accord qui nous conviendrait à tous. » En d'autres termes, soit un président qui accepterait les armes illégales de la milice pro-iranienne, soit personne.
Dans son appel, M. Raad a quand même insisté sur la candidature de Sleiman Frangié. « Pourquoi retirerons-nous sa candidature ? » a-t-il déclaré.
Le député du Hezbollah a réitéré sa vision personnelle du dialogue en imposant son candidat sans considération pour le candidat de l’autre bord. «Soit nous allons vous convaincre qu’il (M. Frangié) est bien la personne qu’il faut, soit vous nous persuaderez qu’il n’est pas à même pour mener à bien cette étape. Nous sommes là pour vous rassurer » a-t-il souligné.
M. Raad est revenu sur les onze premières séances électorales en rappelant qu’ils (le tandem Amal/Hezbollah) avaient voté blanc pour pousser l’autre camp au dialogue tout en insistant que pour lui « le problème réside dans ceux qui refusent d'élire un président qui rassure la Résistance et qui ne la poignarde pas dans le dos ».
M. Raad a aussi déclaré, dans un raisonnement dichotomique, en s’adressant aux députés de l’opposition, « vous pouvez élire le président que vous voulez, mais nous vous demandons de parvenir à un accord qui nous conviendrait à tous. » En d'autres termes, soit un président qui accepterait les armes illégales de la milice pro-iranienne, soit personne.
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