Le secrétaire général de l’Otan, Jens Stoltenberg, a nommé Farah Dakhlallah, libanaise et citoyenne britannique, au poste de porte-parole de l’Otan. Mme Dakhlallah prendra ses fonctions en mars 2024, succédant ainsi à Oana Lungescu, qui a été porte-parole de 2010 à 2023.
Cette nomination intervient à un moment crucial pour l'Otan, alors que la guerre fait rage en Ukraine.
Sur son compte X, elle a affirmé que «c’était un honneur et un privilège d’être nommée porte-parole de l’Otan en cette période critique». «L’Otan protège plus d’un milliard de personnes, en préservant leur liberté et leur démocratie, et en contribuant à un monde plus pacifique», a-t-elle poursuivi.
Mme Dakhlallah apporte avec elle «une vaste expérience dans les secteurs public et privé, notamment aux Nations unies, au gouvernement britannique et à AstraZeneca, ainsi que de plusieurs organisations médiatiques», peut-on lire sur le site de l’alliance.
Selon sa page sur LinkedIn, Mme Dakhlallah était dernièrement directrice des relations avec les médias pour le Moyen-Orient et l’Afrique chez AstraZeneca, le groupe pharmaceutique suédo-britannique. Elle était auparavant responsable de la communication à l’Organisation mondiale de la santé, entre 2017 et 2021. Avant cela, entre 2014 et 2016, elle a été porte-parole arabophone du ministère britannique des Affaires étrangères et du Commonwealth.
Mme Dakhlallah est détentrice d’une maîtrise en relations internationales de l’Université de Cambridge et d'une autre en médias et communications de la London School of Economics. Elle avait auparavant étudié les arts audiovisuels à l’Université Saint-Joseph de Beyrouth.
Cette nomination intervient à un moment crucial pour l'Otan, alors que la guerre fait rage en Ukraine.
Sur son compte X, elle a affirmé que «c’était un honneur et un privilège d’être nommée porte-parole de l’Otan en cette période critique». «L’Otan protège plus d’un milliard de personnes, en préservant leur liberté et leur démocratie, et en contribuant à un monde plus pacifique», a-t-elle poursuivi.
Mme Dakhlallah apporte avec elle «une vaste expérience dans les secteurs public et privé, notamment aux Nations unies, au gouvernement britannique et à AstraZeneca, ainsi que de plusieurs organisations médiatiques», peut-on lire sur le site de l’alliance.
Selon sa page sur LinkedIn, Mme Dakhlallah était dernièrement directrice des relations avec les médias pour le Moyen-Orient et l’Afrique chez AstraZeneca, le groupe pharmaceutique suédo-britannique. Elle était auparavant responsable de la communication à l’Organisation mondiale de la santé, entre 2017 et 2021. Avant cela, entre 2014 et 2016, elle a été porte-parole arabophone du ministère britannique des Affaires étrangères et du Commonwealth.
Mme Dakhlallah est détentrice d’une maîtrise en relations internationales de l’Université de Cambridge et d'une autre en médias et communications de la London School of Economics. Elle avait auparavant étudié les arts audiovisuels à l’Université Saint-Joseph de Beyrouth.
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