Le Premier ministre sortant, Najib Mikati, a annoncé qu’«il planchait sur le dossier de la présence syrienne au Liban», dans la perspective d’«une solution très importante qui sera révélée au public à la fin du mois d’avril».
Lors d’un entretien accordé jeudi à la chaîne locale Al-Jadeed à l’issue de sa visite de condoléances auprès de la famille de Pascal Sleiman, le cadre FL enlevé et tué par des voleurs présumés de voitures, M. Mikati a mis l’accent sur «la mise en œuvre de cette solution». Il a rappelé que les autres plans qu’il avait soumis «étaient restés lettre morte».
De son côté, le ministre sortant de l’Intérieur, Bassam Maoulaoui, a réaffirmé que «le Liban ne pouvait plus tolérer la présence des déplacés syriens», appelant au retour de ces derniers dans leur pays «où certaines régions sont devenues sûres».
«Le Liban est attaché aux droits de l’homme et nous protégeons tous ceux qui se trouvent légalement sur notre territoire», a ajouté M. Maoulaoui lors d’un entretien accordé à la chaîne de télévision Al-Hadath.
La volonté des autorités libanaises de régler ce dossier se justifie non seulement par le meurtre de Pascal Sleiman, mais par tous les problèmes inhérents à une présence syrienne massive incontrôlée au Liban. De nombreux responsables relèvent régulièrement que cette présence, estimée à plusieurs centaines de milliers, constitue un poids dans un Liban en crise, notamment aux niveaux économique et social.
Pascal Sleiman, coordinateur des Forces libanaises à Jbeil, a été tué par des Syriens, dans une tentative présumée de vol de sa voiture, dimanche, sur la route de Kharbé, dans le caza de Jbeil. Ses ravisseurs ont ensuite transféré son corps en Syrie. La dépouille a été rapatriée au Liban dans la journée de mardi.
Lors d’un entretien accordé jeudi à la chaîne locale Al-Jadeed à l’issue de sa visite de condoléances auprès de la famille de Pascal Sleiman, le cadre FL enlevé et tué par des voleurs présumés de voitures, M. Mikati a mis l’accent sur «la mise en œuvre de cette solution». Il a rappelé que les autres plans qu’il avait soumis «étaient restés lettre morte».
De son côté, le ministre sortant de l’Intérieur, Bassam Maoulaoui, a réaffirmé que «le Liban ne pouvait plus tolérer la présence des déplacés syriens», appelant au retour de ces derniers dans leur pays «où certaines régions sont devenues sûres».
«Le Liban est attaché aux droits de l’homme et nous protégeons tous ceux qui se trouvent légalement sur notre territoire», a ajouté M. Maoulaoui lors d’un entretien accordé à la chaîne de télévision Al-Hadath.
La volonté des autorités libanaises de régler ce dossier se justifie non seulement par le meurtre de Pascal Sleiman, mais par tous les problèmes inhérents à une présence syrienne massive incontrôlée au Liban. De nombreux responsables relèvent régulièrement que cette présence, estimée à plusieurs centaines de milliers, constitue un poids dans un Liban en crise, notamment aux niveaux économique et social.
Pascal Sleiman, coordinateur des Forces libanaises à Jbeil, a été tué par des Syriens, dans une tentative présumée de vol de sa voiture, dimanche, sur la route de Kharbé, dans le caza de Jbeil. Ses ravisseurs ont ensuite transféré son corps en Syrie. La dépouille a été rapatriée au Liban dans la journée de mardi.
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