Plusieurs personnalités ont condamné l'attaque contre le journaliste Rami Naïm, directeur général du journal El-Siyasa, rédacteur en chef adjoint de la chaîne locale MTV et producteur. Ce dernier a accusé «un groupe de quinze jeunes pro-Hezbollah» de l'avoir «violemment battu, mardi, à Verdun».
Mercredi, l’Ordre de la presse a vivement dénoncé l'usage de la violence à l'encontre d'un journaliste. Dans un communiqué, il a appelé la victime à porter plainte auprès des autorités judiciaires compétentes, déplorant, de manière générale, «les agressions et tentatives d’intimidations contre les journalistes et les professionnels de la presse, écrite, audiovisuelle».
Même son de cloche du côté du Club de la presse, qui a exhorté les services de sécurité «à identifier et poursuivre les agresseurs» dans les délais les plus brefs.
De son côté, le Premier ministre sortant, Najib Mikati, a appelé mardi le ministre sortant de la Justice, Henry Khoury, «à ordonner au ministère public de prendre les mesures juridiques nécessaires contre les assaillants qui ont attaqué Rami Naïm».
Pour leur part, les députés de différents bords politiques, notamment au sein de l'oppostion, ont condamné fermement l'agression.
Mercredi, l’Ordre de la presse a vivement dénoncé l'usage de la violence à l'encontre d'un journaliste. Dans un communiqué, il a appelé la victime à porter plainte auprès des autorités judiciaires compétentes, déplorant, de manière générale, «les agressions et tentatives d’intimidations contre les journalistes et les professionnels de la presse, écrite, audiovisuelle».
Même son de cloche du côté du Club de la presse, qui a exhorté les services de sécurité «à identifier et poursuivre les agresseurs» dans les délais les plus brefs.
De son côté, le Premier ministre sortant, Najib Mikati, a appelé mardi le ministre sortant de la Justice, Henry Khoury, «à ordonner au ministère public de prendre les mesures juridiques nécessaires contre les assaillants qui ont attaqué Rami Naïm».
Pour leur part, les députés de différents bords politiques, notamment au sein de l'oppostion, ont condamné fermement l'agression.
Lire aussi
Commentaires