Le bilan de l’hécatombe d’Ersal où un camion chargé de rochers a percuté une série de voitures samedi, s’est alourdi. Le nombre des victimes s’est élevé à 9 en ce dimanche, après le décès de deux blessés graves, dont un grand brûlé.
Député de la région, Melhem Hojeiry a demandé dans un communiqué au ministère de la Santé et à la justice libanaise d’ouvrir une enquête au sujet du refus présumé d’un hôpital de la capitale de recevoir une des victimes, Dib Mohammad Ghadad, qui souffrait de graves brûlures. Il a accusé l’hôpital Getaoui de ne pas avoir accepté l’admission du blessé « sous prétexte qu’il n’avait pas de lits vides, ce qui fait que le malheureux est décédé à la porte de l’hôpital sans même qu’il ne soit admis aux urgences ».
La direction de l'hôpital n'a pas tardé à réagir aux propos du député. Dans un communiqué, elle a démenti les informations qu'il a rapportées et qui ont été largement relayées sur les réseaux sociaux, en affirmant que les "premiers soins ont été prodigués au blessé qui souffrait de brûlures du deuxième et du troisième degrés sur 75% de la surface de son corps, en plus d'une fracture de la hanche et de différentes blessures au visage et au crâne". "À son arrivée, son état clinique était extrêmement grave: difficulté respiratoire, saturation de moins de 50% en oxygène, bradycardie (47 battements de coeur la minute). Il a fait un arrêt cardiaque et respiratoire à son arrivée. L'équipe médicale et infirmière ont procédé immédiatement à une réanimation mais il n'a pas survécu", précise le texte.
Sept membres d’une même famille avaient trouvé la mort samedi soir dans un épouvantable accident de la route, à Ersal, à la frontière avec la Syrie, dans la Békaa.
Le chauffeur d’un camion qui transportait plus de 40 tonnes de rochers a perdu le contrôle de son véhicule qui a percuté un certain nombre de voitures, dont une camionnette, avant de verser sur le côté et de prendre feu.
Plusieurs personnes ont été également blessées. Les obsèques des victimes ont eu lieu dimanche après-midi à Ersal.
Député de la région, Melhem Hojeiry a demandé dans un communiqué au ministère de la Santé et à la justice libanaise d’ouvrir une enquête au sujet du refus présumé d’un hôpital de la capitale de recevoir une des victimes, Dib Mohammad Ghadad, qui souffrait de graves brûlures. Il a accusé l’hôpital Getaoui de ne pas avoir accepté l’admission du blessé « sous prétexte qu’il n’avait pas de lits vides, ce qui fait que le malheureux est décédé à la porte de l’hôpital sans même qu’il ne soit admis aux urgences ».
La direction de l'hôpital n'a pas tardé à réagir aux propos du député. Dans un communiqué, elle a démenti les informations qu'il a rapportées et qui ont été largement relayées sur les réseaux sociaux, en affirmant que les "premiers soins ont été prodigués au blessé qui souffrait de brûlures du deuxième et du troisième degrés sur 75% de la surface de son corps, en plus d'une fracture de la hanche et de différentes blessures au visage et au crâne". "À son arrivée, son état clinique était extrêmement grave: difficulté respiratoire, saturation de moins de 50% en oxygène, bradycardie (47 battements de coeur la minute). Il a fait un arrêt cardiaque et respiratoire à son arrivée. L'équipe médicale et infirmière ont procédé immédiatement à une réanimation mais il n'a pas survécu", précise le texte.
Sept membres d’une même famille avaient trouvé la mort samedi soir dans un épouvantable accident de la route, à Ersal, à la frontière avec la Syrie, dans la Békaa.
Le chauffeur d’un camion qui transportait plus de 40 tonnes de rochers a perdu le contrôle de son véhicule qui a percuté un certain nombre de voitures, dont une camionnette, avant de verser sur le côté et de prendre feu.
Plusieurs personnes ont été également blessées. Les obsèques des victimes ont eu lieu dimanche après-midi à Ersal.
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