Une vidéo publiée sur les réseaux sociaux le 1ᵉʳ mars montre un homme vêtu d’un costume gris, attaquant une femme par-derrière en lui tirant les cheveux devant une école pour filles à Téhéran, où des informations avaient fait état de l’empoisonnement d’étudiantes. La police iranienne a déclaré jeudi que ses agents " n’avaient joué aucun rôle " dans l’agression de la femme.

Plus de mille cas d’empoisonnements de jeunes filles dans des écoles d’Iran eu lieu depuis novembre. Une série noire qui suscite une émotion grandissante dans le pays. Malgré les enquêtes menées à ce sujet, les autorités ne parviennent pas à identifier ni les acteurs ni la substance responsables de ces attaques ciblées.

Rémi Amalvy, avec AFP

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