Dans un " avant " aux accents idylliques, Mohammed Hamid Nour était à la tête d’un troupeau d’une centaine de buffles d’eau. Depuis, les marais mésopotamiens dans le sud de l’Irak se sont asséchés, son cheptel est décimé. Quand on regarde du ciel le marais central de Chibayich, le panorama est dramatique.

Avec AFP