Les journaliers d’Electricité du Liban (EDL) observent un sit-in jeudi matin devant le bâtiment du fournisseur public d’électricité, en présence du président de la Confédération générale des travailleurs libanais (CGTL), Béchara Asmar. Ils réclament les mêmes droits dont jouissent les autres fonctionnaires.

Ils estiment avoir frappé à toutes les portes pour améliorer le salaire journalier dans le cadre du nouveau cahier des charges pour l’année 2023/2024, sans résultat, celui-ci étant toujours de 410 000 livres. “Nous avons déjà mis en garde contre les atteintes aux droits des travailleurs et aux salaires en particulier”, peut-on lire dans un communiqué publié mercredi soir.