©Photo: FIBA
Battus à Zouk Mikaël, à la suite du premier match de la finale de Wasl, les Iraniens de Gorgan se sont ressaisis, mercredi à Téhéran, en battant le Riyadi 95 à 85. Les deux équipes sont désormais à égalité 1-1 avant le troisième et dernier match, mercredi prochain, à Zouk Mikaël.
Une semaine après avoir encaissé une claque retentissante à Zouk Mikaël face au Riyadi, le club de Gorgan n’a pas tendu la deuxième joue.
En effet, les Iraniens ont montré un tout autre visage à domicile en dominant les Libanais 95 à 85 lors de la rencontre qui a opposé les deux équipes, mercredi à Téhéran.
Pour la plus grande joie de leurs fidèles qui se sont rendus au Azadi Basketball Hall, les joueurs de Gorgan ont bien réagi en terre perse.
Contrôle iranien
Le club iranien a pris le contrôle du match dès l’entame avec une nette domination sous les paniers. Avec un cinq de départ semi-classique composé de Ali Mansour, Karim Zainoun, Jonathan Simmons, Hayg Gyokchyan et Elemedine Kikanovic, les Libanais ont été plutôt lents au démarrage, sans doute surpris par la témérité de leurs hôtes.
Mais, très vite, le jeu s’équilibrait avec deux somptueux triplés de Ali Mansour. Le premier quart s’achevait en faveur de Gorgan (23-22).
Petite avance
Portés par Saoud qui distillait des passes incisives à ses coéquipiers notamment Kikanovic et Sakakini, le Riyadi retrouvait ses marques dans le deuxième quart qu’il clôturait avec une petite avance (45-41).
Au retour des vestiaires, les deux équipes jetaient toutes leurs forces dans la bataille. Le niveau de jeu était élevé et les protagonistes se rendaient coup pour coup. Le score évoluait en dents de scie 67-67 à la 30e.
Dire que le quatrième quart était crucial relève de l’euphémisme. Malheureusement, c’est à ce moment précis que les joueurs du Riyadi ont choisi de faire un festival de turn-overs. Tendus, maladroits (2/8 aux tirs), dominés au rebond et dans l’impact, les protégés de Farran étaient dépassés dans tous les secteurs du jeu. Profitant de ce passage à vide de leurs adversaires, les Iraniens revenaient au score puis devançaient les Libanais. La dynamique avait été inversée. Le Riyadi lâchait beaucoup de ballons et Gorgan a pu poser la main sur les débats en fin de rencontre surtout par l’entremise de Will Cherry, Arsalan Kazemi et Sina Vahedi. La confiance aidant, le volume défensif a été encore plus intense et a complètement broyé les velléités offensives du Riyadi. Youssof Vand portait l’estocade finale avec un dunk à une main avant la fin du temps réglementaire pour envoyer les champions en titre à terre 95-85. Ce score permettait à Gorgan de se remettre de son humiliante défaite lors du match 1.
Mauvaise soirée
«C’est l’une de ces mauvaises soirées pour nous. Nous ne pouvons pas espérer gagner un match contre une équipe comme Gorgan et commettre 17 pertes de balle. C’est trop. De plus, nous n’avons pas bien tiré aujourd’hui. C’était l’inverse de ce que nous avions à Beyrouth. Nous avons beaucoup de travail à faire avant le dernier match à Beyrouth», relativisait Ahmad Farran après la rencontre.
La victoire est finalement revenue à l’équipe qui la désirait le plus, mercredi.
Après la fessée reçue à Zouk Mikaël par le Riyadi, Mostafa Hashemi avait exhorté ses hommes à ne pas tendre l’autre joue. L’entraîneur iranien a été entendu. Les Libanais savent désormais ce qu’il leur reste à faire mercredi prochain à Zouk Mikaël.
Une semaine après avoir encaissé une claque retentissante à Zouk Mikaël face au Riyadi, le club de Gorgan n’a pas tendu la deuxième joue.
En effet, les Iraniens ont montré un tout autre visage à domicile en dominant les Libanais 95 à 85 lors de la rencontre qui a opposé les deux équipes, mercredi à Téhéran.
Pour la plus grande joie de leurs fidèles qui se sont rendus au Azadi Basketball Hall, les joueurs de Gorgan ont bien réagi en terre perse.
Contrôle iranien
Le club iranien a pris le contrôle du match dès l’entame avec une nette domination sous les paniers. Avec un cinq de départ semi-classique composé de Ali Mansour, Karim Zainoun, Jonathan Simmons, Hayg Gyokchyan et Elemedine Kikanovic, les Libanais ont été plutôt lents au démarrage, sans doute surpris par la témérité de leurs hôtes.
Mais, très vite, le jeu s’équilibrait avec deux somptueux triplés de Ali Mansour. Le premier quart s’achevait en faveur de Gorgan (23-22).
Petite avance
Portés par Saoud qui distillait des passes incisives à ses coéquipiers notamment Kikanovic et Sakakini, le Riyadi retrouvait ses marques dans le deuxième quart qu’il clôturait avec une petite avance (45-41).
Au retour des vestiaires, les deux équipes jetaient toutes leurs forces dans la bataille. Le niveau de jeu était élevé et les protagonistes se rendaient coup pour coup. Le score évoluait en dents de scie 67-67 à la 30e.
Dire que le quatrième quart était crucial relève de l’euphémisme. Malheureusement, c’est à ce moment précis que les joueurs du Riyadi ont choisi de faire un festival de turn-overs. Tendus, maladroits (2/8 aux tirs), dominés au rebond et dans l’impact, les protégés de Farran étaient dépassés dans tous les secteurs du jeu. Profitant de ce passage à vide de leurs adversaires, les Iraniens revenaient au score puis devançaient les Libanais. La dynamique avait été inversée. Le Riyadi lâchait beaucoup de ballons et Gorgan a pu poser la main sur les débats en fin de rencontre surtout par l’entremise de Will Cherry, Arsalan Kazemi et Sina Vahedi. La confiance aidant, le volume défensif a été encore plus intense et a complètement broyé les velléités offensives du Riyadi. Youssof Vand portait l’estocade finale avec un dunk à une main avant la fin du temps réglementaire pour envoyer les champions en titre à terre 95-85. Ce score permettait à Gorgan de se remettre de son humiliante défaite lors du match 1.
Mauvaise soirée
«C’est l’une de ces mauvaises soirées pour nous. Nous ne pouvons pas espérer gagner un match contre une équipe comme Gorgan et commettre 17 pertes de balle. C’est trop. De plus, nous n’avons pas bien tiré aujourd’hui. C’était l’inverse de ce que nous avions à Beyrouth. Nous avons beaucoup de travail à faire avant le dernier match à Beyrouth», relativisait Ahmad Farran après la rencontre.
La victoire est finalement revenue à l’équipe qui la désirait le plus, mercredi.
Après la fessée reçue à Zouk Mikaël par le Riyadi, Mostafa Hashemi avait exhorté ses hommes à ne pas tendre l’autre joue. L’entraîneur iranien a été entendu. Les Libanais savent désormais ce qu’il leur reste à faire mercredi prochain à Zouk Mikaël.
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