©MARTIN BERNETTI / AFP
La paire Nadal/Alcaraz, l'une des attractions du tournoi olympique, poursuit son chemin, désormais en quart de finale du double et toujours en lice pour l'or, un métal que ne verra pas l'Américaine Coco Gauff en simple.
Nadal peut donc attendre encore un peu avant de se pencher sur son avenir, ce qu'il fera "après les JO" comme il l'a expliqué lundi après sa défaite face à Novak Djokovic au 2e tour du simple. À 38 ans, il vit sans doute ses derniers JO, et si la question de sa retraite revient avec insistance, il repousse l'échéance jour après jour.
Aux côtés de la pépite du tennis mondial Carlos Alcaraz, la paire soulève d'immenses attentes. Mais la route n'est pas si simple, et leur 8e de finale face aux Néerlandais Griekspoor-Koolhof, battus 6-4, 6-7 (2/7), 10/2, l'a bien démontré.
Les deux ne sont pas spécialistes du double, qui nécessite des automatismes communs. Et si les deux ont été N.1 mondial, si Carlos Alcaraz a remporté Roland-Garros pour la première fois en juin et Nadal à 14 reprises, cela ne suffit pas forcément. Malgré d'évidentes fulgurances, ils ont laissé la porte ouverte à un scénario catastrophe face aux Bataves en perdant le 2e set, avant de se reprendre dans le super tie-break.
Un avertissement sans frais... Ils affronteront en quart de finale la paire américaine Krajicek/Ram.
Pour Coco Gauff, la porte-drapeau américaine aux côtés de la star de NBA Lebron James, la route s'est arrêtée plus tôt que prévue, au 2e tour.
Face à la 21e joueuse mondiale, la Croate Donna Vekic, la N.2 mondiale a totalement craqué, sans doute prise par l'enjeu de sa quête d'or. Elle menait pourtant 5-2 dans le premier set et semblait partie pour dérouler. Mais la machine s'est enrayée. Et après avoir concédé la première manche au tie-break 7-6 (7), elle a cédé sous la tension du match.
Sur une balle de break à 2-3 dans le 2e set, une balle annoncée faute dans un premier temps, puis corrigée par l'arbitre de chaise, elle a dégoupillé. Contestation, pleurs... Ce fait de jeu a eu raison d'elle. S'estimant "volée", elle a ensuite laissé filer le match (7-6, 6-2). Le tournoi a perdu l'une des rares sans doute à pouvoir contrarier la Polonaise Iga Swiatek qui jouait mardi soir. L'Américaine peut encore rêver d'or en double aux côtés de Jessica Pegula et en double mixte avec Taylor Fritz.
Avec AFP
Nadal peut donc attendre encore un peu avant de se pencher sur son avenir, ce qu'il fera "après les JO" comme il l'a expliqué lundi après sa défaite face à Novak Djokovic au 2e tour du simple. À 38 ans, il vit sans doute ses derniers JO, et si la question de sa retraite revient avec insistance, il repousse l'échéance jour après jour.
Aux côtés de la pépite du tennis mondial Carlos Alcaraz, la paire soulève d'immenses attentes. Mais la route n'est pas si simple, et leur 8e de finale face aux Néerlandais Griekspoor-Koolhof, battus 6-4, 6-7 (2/7), 10/2, l'a bien démontré.
Les deux ne sont pas spécialistes du double, qui nécessite des automatismes communs. Et si les deux ont été N.1 mondial, si Carlos Alcaraz a remporté Roland-Garros pour la première fois en juin et Nadal à 14 reprises, cela ne suffit pas forcément. Malgré d'évidentes fulgurances, ils ont laissé la porte ouverte à un scénario catastrophe face aux Bataves en perdant le 2e set, avant de se reprendre dans le super tie-break.
Pleurs de Gauff
Un avertissement sans frais... Ils affronteront en quart de finale la paire américaine Krajicek/Ram.
Pour Coco Gauff, la porte-drapeau américaine aux côtés de la star de NBA Lebron James, la route s'est arrêtée plus tôt que prévue, au 2e tour.
Face à la 21e joueuse mondiale, la Croate Donna Vekic, la N.2 mondiale a totalement craqué, sans doute prise par l'enjeu de sa quête d'or. Elle menait pourtant 5-2 dans le premier set et semblait partie pour dérouler. Mais la machine s'est enrayée. Et après avoir concédé la première manche au tie-break 7-6 (7), elle a cédé sous la tension du match.
Sur une balle de break à 2-3 dans le 2e set, une balle annoncée faute dans un premier temps, puis corrigée par l'arbitre de chaise, elle a dégoupillé. Contestation, pleurs... Ce fait de jeu a eu raison d'elle. S'estimant "volée", elle a ensuite laissé filer le match (7-6, 6-2). Le tournoi a perdu l'une des rares sans doute à pouvoir contrarier la Polonaise Iga Swiatek qui jouait mardi soir. L'Américaine peut encore rêver d'or en double aux côtés de Jessica Pegula et en double mixte avec Taylor Fritz.
Avec AFP
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