L'Australienne Kaylee McKeown a conservé son titre du 100 m dos, mardi aux Jeux olympiques de Paris, où le Français Léon Marchand a passé avec brio la première étape de son défi fou de doubler 200 m papillon et 200 m brasse.
Avec un chrono de 57 sec 33, McKeown a devancé l'Américaine Regan Smith, détentrice du record du monde, 2e en 57 sec 66.
Comme attendu, le 100 m dos a tourné au duel entre les deux dossistes les plus rapides du monde, qui se sont rendu coup pour coup ces derniers mois.
Derrière, Katharine Berkoff, 23 ans, fille du quadruple médaillé olympique David Berkoff, n'avait pour l'instant remporté qu'une médaille internationale individuelle en grand bassin, le bronze du 100 m dos lors des Mondiaux-2023 de Fukuoka.
Avec ce titre, McKeown retrouve son statut de reine du sprint, elle qui s'était fait chiper son record du monde par Smith au cours des sélections américaines en juin.
Elle apporte ainsi à l'Australie une quatrième médaille d'or depuis le début des épreuves de natation, après les titres d'Ariarne Titmus sur 400 m nage libre, Mollie O'Callaghan au 200 m nage libre et l'équipe féminine du 4x100 m nage libre.
"Les Australiens ont eu une super compétition pour le moment, dans le sillage d'Arnie et Molly. C'est assez émouvant de voir mes coéquipières...", a réagi McKeown, qui espère également conserver son titre du 200 m dos.
Révélation de la saison à 23 ans, l'Irlandais Daniel Wiffen a de son côté apporté à son pays son premier or olympique depuis Michelle Smith en 1996, grâce à sa victoire en finale du 800 m nage libre.
Avec un nouveau record olympique (7 min 38 sec 19), il a détrôné le champion olympique en titre, l'Américain Bobby Finke, tandis que l'expérimenté Italien Gregorio Paltrinieri s'est paré de bronze.
Wiffen avait déjà pris les commandes des séries lundi matin, auréolé d'une double couronne mondiale décrochée en février dernier à Doha (800 et 1500 m).
"Je ne rentre pas de Paris sans médaille", avait-il clamé en juin auprès de la BBC. Pari réussi.
Il sera également en lice sur le 1500 m ainsi que sur l'épreuve d'eau libre du 10 km prévue dans la Seine.
Dans la troisième finale de la soirée, les Britanniques sont allés chercher l'or en relais 4x200 m nage libre, devant les Américains et les Australiens.
La journée a par ailleurs été marquée par le pari fou - et réussi - du Français Léon Marchand.
Tout frais champion olympique du 400 m quatre nages, il briguera deux nouvelles médailles dès mercredi, après avoir réussi avec brio à se qualifier pour les finales des 200 m papillon et 200 m brasse.
Mercredi, il n'aura que deux heures pour récupérer entre les deux courses, sur lesquelles il peut viser deux titres. Il aura toutefois fort à faire en papillon face à l'imprévisible Hongrois Kristof Milak, recordman du monde de la distance. Et en brasse, il faudra se méfier de l'Australien Zac Stubblety-Cook, champion olympique en titre.
La session de mardi soir a également été rythmée par les demi-finales du 100 m nage libre, traditionnelle course reine de la natation.
Chez les hommes, le Chinois Pan Zhanle a dominé ses adversaires sur une distance dont il détient le record du monde, tandis que la Hongkongaise Siobhan Haughey, vice-championne olympique en titre, a signé le meilleur temps.
Avec AFP
Avec un chrono de 57 sec 33, McKeown a devancé l'Américaine Regan Smith, détentrice du record du monde, 2e en 57 sec 66.
Comme attendu, le 100 m dos a tourné au duel entre les deux dossistes les plus rapides du monde, qui se sont rendu coup pour coup ces derniers mois.
Derrière, Katharine Berkoff, 23 ans, fille du quadruple médaillé olympique David Berkoff, n'avait pour l'instant remporté qu'une médaille internationale individuelle en grand bassin, le bronze du 100 m dos lors des Mondiaux-2023 de Fukuoka.
Avec ce titre, McKeown retrouve son statut de reine du sprint, elle qui s'était fait chiper son record du monde par Smith au cours des sélections américaines en juin.
Elle apporte ainsi à l'Australie une quatrième médaille d'or depuis le début des épreuves de natation, après les titres d'Ariarne Titmus sur 400 m nage libre, Mollie O'Callaghan au 200 m nage libre et l'équipe féminine du 4x100 m nage libre.
"Les Australiens ont eu une super compétition pour le moment, dans le sillage d'Arnie et Molly. C'est assez émouvant de voir mes coéquipières...", a réagi McKeown, qui espère également conserver son titre du 200 m dos.
Révélation de la saison à 23 ans, l'Irlandais Daniel Wiffen a de son côté apporté à son pays son premier or olympique depuis Michelle Smith en 1996, grâce à sa victoire en finale du 800 m nage libre.
Avec un nouveau record olympique (7 min 38 sec 19), il a détrôné le champion olympique en titre, l'Américain Bobby Finke, tandis que l'expérimenté Italien Gregorio Paltrinieri s'est paré de bronze.
Wiffen avait déjà pris les commandes des séries lundi matin, auréolé d'une double couronne mondiale décrochée en février dernier à Doha (800 et 1500 m).
"Je ne rentre pas de Paris sans médaille", avait-il clamé en juin auprès de la BBC. Pari réussi.
Il sera également en lice sur le 1500 m ainsi que sur l'épreuve d'eau libre du 10 km prévue dans la Seine.
Pan en pole sur 100 m
Dans la troisième finale de la soirée, les Britanniques sont allés chercher l'or en relais 4x200 m nage libre, devant les Américains et les Australiens.
La journée a par ailleurs été marquée par le pari fou - et réussi - du Français Léon Marchand.
Tout frais champion olympique du 400 m quatre nages, il briguera deux nouvelles médailles dès mercredi, après avoir réussi avec brio à se qualifier pour les finales des 200 m papillon et 200 m brasse.
Mercredi, il n'aura que deux heures pour récupérer entre les deux courses, sur lesquelles il peut viser deux titres. Il aura toutefois fort à faire en papillon face à l'imprévisible Hongrois Kristof Milak, recordman du monde de la distance. Et en brasse, il faudra se méfier de l'Australien Zac Stubblety-Cook, champion olympique en titre.
La session de mardi soir a également été rythmée par les demi-finales du 100 m nage libre, traditionnelle course reine de la natation.
Chez les hommes, le Chinois Pan Zhanle a dominé ses adversaires sur une distance dont il détient le record du monde, tandis que la Hongkongaise Siobhan Haughey, vice-championne olympique en titre, a signé le meilleur temps.
Avec AFP
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