Le président de l’ordre des médecins, Charaf Abou Charaf, met en garde contre la recrudescence des cas de Covid-19.
Le chef de l’État, Michel Aoun, a reçu jeudi président de l’ordre des médecins, Charaf Abou Charaf, qui a appelé à mettre le pays en état de mobilisation pour faire face à la recrudescence des cas de Covid-19, alors que le variant Omicron a déjà été recensé dans plusieurs pays du monde.
«Si le relâchement total continue d’être observé au Liban, nous serons face à un danger qui menace le système de santé qui pourrait s’effondrer, puisqu’il n’a plus les capacités nécessaires», a déploré M. Abou Charaf. Il a expliqué dans ce cadre que les corps médical et infirmier sont «épuisés» et le secteur hospitalier «est dans l’incapacité d’accueillir un grand nombre de patients, d’autant que l’émigration constatée au sein de ces corps s’accentue et que de nombreux hôpitaux ont mis la clé sous la porte».
Mettant en garde contre un scénario similaire à celui vécu au début de l’année, au lendemain des fêtes, M. Abou Charaf a mis l’accent sur la nécessité de respecter les gestes-barrières et de se faire vacciner, «sachant que le vaccin est disponible en quantités suffisantes».
Le chef de l’État, Michel Aoun, a reçu jeudi président de l’ordre des médecins, Charaf Abou Charaf, qui a appelé à mettre le pays en état de mobilisation pour faire face à la recrudescence des cas de Covid-19, alors que le variant Omicron a déjà été recensé dans plusieurs pays du monde.
«Si le relâchement total continue d’être observé au Liban, nous serons face à un danger qui menace le système de santé qui pourrait s’effondrer, puisqu’il n’a plus les capacités nécessaires», a déploré M. Abou Charaf. Il a expliqué dans ce cadre que les corps médical et infirmier sont «épuisés» et le secteur hospitalier «est dans l’incapacité d’accueillir un grand nombre de patients, d’autant que l’émigration constatée au sein de ces corps s’accentue et que de nombreux hôpitaux ont mis la clé sous la porte».
Mettant en garde contre un scénario similaire à celui vécu au début de l’année, au lendemain des fêtes, M. Abou Charaf a mis l’accent sur la nécessité de respecter les gestes-barrières et de se faire vacciner, «sachant que le vaccin est disponible en quantités suffisantes».
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