Le Bureau politique Kataëb a tenu mardi une réunion présidée par le chef du parti, le député Sami Gemayel. Dans un communiqué publié au terme de la réunion, le parti a souligné la nécessité de respecter l’échéance présidentielle qui est la dernière porte de salut pour sortir le Liban et les Libanais du cycle infernal dans lequel ils vivent. Le parti a appelé sur ce plan à «unifier les forces de l’opposition autour d’un candidat unique» à la présidence de la République.
Le Bureau politique a estimé dans ce cadre que "la réunion de coordination qui a réuni (lundi, au Parlement) les députés souverainistes est un pas dans la bonne direction et il est nécessaire de renforcer cette démarche afin qu'elle crée une dynamique suffisante pour traduire dans les faits les aspirations des Libanais dans les années à venir".
Le parti Kataëb a par ailleurs dénoncé l'indifférence de l'autorité centrale au sujet de l’affaire de l'archevêque Moussa al-Hage. Il s’est étonné de l’inaction des autorités judiciaires compétentes pour ce qui a trait à la récusation du juge Fadi Akiki, alors qu'elles disposent désormais de pouvoirs suffisants pour mener à bien cette tâche. Et le Bureau politique d’ajouter à ce sujet: «Nous attendons une réponse directe de la justice, d'autant que nous n’accepterons jamais cette affaire soit étouffée, enterrée ou fasse l’objet de marchandage, car ce n'était pas et ce ne sera pas un cas personnel, mais plutôt un enjeu national par excellence. »
Le parti Kataëb a par ailleurs dénoncé le fait que «le Hezbollah poursuit ses tentatives de reprendre l’initiative sur la scène libanaise et régionale, ce qu'il avait perdu en raison de sa défaite aux dernières élections législatives. » «Tantôt il reprend sa rhétorique habituelle qui consiste à diaboliser ceux qu’il appelle les ‘collaborateurs’, tantôt il lance unilatéralement ses drones dans le cadre d’une stratégie défensive et diplomatique», soulignent les Kataëb.
Le Bureau politique a insisté d’autre part sur «le rôle primordial de l’État et du peuple libanais à qui doit revenir toute décision de guerre, de paix ou de négociation». Il a rappelé dans ce cadre que le peuple demeure divisé sur la question des armes illégales.
Et les Kataëb de poursuivre : «Le Hezbollah ne peut utiliser le peuple comme bouclier humain pour impliquer le peuple et l'État dans des aventures qui détruisent ce qui reste encore» dans le pays. Le communiqué a appelé à cet égard l'autorité libanaise à reprendre immédiatement les négociations sur la délimitation des frontières maritimes.
Le Bureau politique a souligné que "tout Libanais libre n'accepte pas qu’une main étrangère soit tendue vers sa richesse souveraine et il s'accroche à chaque centimètre carré de sa terre.» «C’est aux représentants légitimes du peuple qu’incombe le droit de prendre des décisions, et ils n'hésiteront pas à défendre leur pays en cas de besoin», conclut le communiqué».
Le Bureau politique a estimé dans ce cadre que "la réunion de coordination qui a réuni (lundi, au Parlement) les députés souverainistes est un pas dans la bonne direction et il est nécessaire de renforcer cette démarche afin qu'elle crée une dynamique suffisante pour traduire dans les faits les aspirations des Libanais dans les années à venir".
Le parti Kataëb a par ailleurs dénoncé l'indifférence de l'autorité centrale au sujet de l’affaire de l'archevêque Moussa al-Hage. Il s’est étonné de l’inaction des autorités judiciaires compétentes pour ce qui a trait à la récusation du juge Fadi Akiki, alors qu'elles disposent désormais de pouvoirs suffisants pour mener à bien cette tâche. Et le Bureau politique d’ajouter à ce sujet: «Nous attendons une réponse directe de la justice, d'autant que nous n’accepterons jamais cette affaire soit étouffée, enterrée ou fasse l’objet de marchandage, car ce n'était pas et ce ne sera pas un cas personnel, mais plutôt un enjeu national par excellence. »
Le parti Kataëb a par ailleurs dénoncé le fait que «le Hezbollah poursuit ses tentatives de reprendre l’initiative sur la scène libanaise et régionale, ce qu'il avait perdu en raison de sa défaite aux dernières élections législatives. » «Tantôt il reprend sa rhétorique habituelle qui consiste à diaboliser ceux qu’il appelle les ‘collaborateurs’, tantôt il lance unilatéralement ses drones dans le cadre d’une stratégie défensive et diplomatique», soulignent les Kataëb.
Le Bureau politique a insisté d’autre part sur «le rôle primordial de l’État et du peuple libanais à qui doit revenir toute décision de guerre, de paix ou de négociation». Il a rappelé dans ce cadre que le peuple demeure divisé sur la question des armes illégales.
Et les Kataëb de poursuivre : «Le Hezbollah ne peut utiliser le peuple comme bouclier humain pour impliquer le peuple et l'État dans des aventures qui détruisent ce qui reste encore» dans le pays. Le communiqué a appelé à cet égard l'autorité libanaise à reprendre immédiatement les négociations sur la délimitation des frontières maritimes.
Le Bureau politique a souligné que "tout Libanais libre n'accepte pas qu’une main étrangère soit tendue vers sa richesse souveraine et il s'accroche à chaque centimètre carré de sa terre.» «C’est aux représentants légitimes du peuple qu’incombe le droit de prendre des décisions, et ils n'hésiteront pas à défendre leur pays en cas de besoin», conclut le communiqué».
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