©De gauche à droite, Alessandra Piermattei, Nicoletta Bombardiere et Taina Christiansen signant l’accord de coopération visant à réhabiliter l’espace public de la gare de Mar Mikhaël. ©DR
L’Agence italienne pour la coopération au développement (AICS) et le Programme des Nations unies pour les établissements humains (ONU-Habitat) ont signé mercredi un accord visant à réhabiliter l’espace public de la gare de Mar Mikhaël à Beyrouth, comme à restaurer les logements endommagés dans les zones touchées par l’explosion au port de Beyrouth, le 4 août 2020.
L’accord a été signé par l’ambassadrice d’Italie, Nicoletta Bombardiere, et la responsable du programme national d’ONU-Habitat pour le Liban, Taina Christiansen, au cours d’une cérémonie organisée à l’ambassade d’Italie, en présence de la directrice de l’AICS, Alessandra Piermattei.
Intitulé «Garantir des espaces publics sûrs et un logement adéquat pour tous dans la ville de Beyrouth», le projet d’une valeur totale de 2,3 millions d’euros sera effectué sur une durée de deux ans. Il est financé par l’AICS et sera mis en œuvre par ONU-Habitat en étroite coordination avec la Direction générale des antiquités (DGA), la Direction des chemins de fer et des transports publics (RPTA), le conseil municipal et le mohafez de Beyrouth. Le projet devrait améliorer les conditions de logement des populations vulnérables touchées par l’explosion, en particulier les habitations situées à proximité de l’ancienne gare de Mar Mikhaël. Il devra aussi renforcer l’accès à des espaces publics sûrs et inclusifs au sein de la gare, tout en revitalisant le tissu urbain de la ville.
L’accord a été signé par l’ambassadrice d’Italie, Nicoletta Bombardiere, et la responsable du programme national d’ONU-Habitat pour le Liban, Taina Christiansen, au cours d’une cérémonie organisée à l’ambassade d’Italie, en présence de la directrice de l’AICS, Alessandra Piermattei.
Intitulé «Garantir des espaces publics sûrs et un logement adéquat pour tous dans la ville de Beyrouth», le projet d’une valeur totale de 2,3 millions d’euros sera effectué sur une durée de deux ans. Il est financé par l’AICS et sera mis en œuvre par ONU-Habitat en étroite coordination avec la Direction générale des antiquités (DGA), la Direction des chemins de fer et des transports publics (RPTA), le conseil municipal et le mohafez de Beyrouth. Le projet devrait améliorer les conditions de logement des populations vulnérables touchées par l’explosion, en particulier les habitations situées à proximité de l’ancienne gare de Mar Mikhaël. Il devra aussi renforcer l’accès à des espaces publics sûrs et inclusifs au sein de la gare, tout en revitalisant le tissu urbain de la ville.
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