Le syndicat des employés d’Ogero, l’opérateur en charge des télécoms au Liban, a annoncé une grève ouverte à partir de mardi matin sur l’ensemble du territoire national.
Le conseil exécutif du syndicat a tenu lundi une réunion extraordinaire avec, à l’ordre du jour, un seul sujet: «La crise socio-économique». Au terme des délibérations, il a annoncé «une grève ouverte et l’arrêt de tous les travaux d’entretien et d’opérations dans tous les centres d’Ogero sur l’ensemble du territoire national, à partir de mardi matin et jusqu’à l’obtention d’un réajustement des salaires de tous les employés (titulaires, journaliers, contractuels et assistants) d'une manière qui corresponde à la situation socio-économique actuelle».
Dans son communiqué, il a énuméré tous les défis auxquels ces derniers sont confrontés, soulignant qu’ils «ploient sous le poids de la crise et n’arrivent plus à assumer les frais de santé, de scolarités et d’universités».
Le syndicat a rappelé qu’«à aucun moment les employés d’Ogero n'ont failli à leurs devoirs vis-à-vis des abonnés, quelles que soient les circonstances (guerre, révolution, pandémie... ) mais qu’ils se retrouvent aujourd’hui au bord de l’asphyxie et incapables de patienter davantage».
Les employés d’Ogero avaient lancé un premier avertissement aux autorités, la semaine dernière, en annonçant, mardi dernier, une grève d’une semaine.
Le conseil exécutif du syndicat a tenu lundi une réunion extraordinaire avec, à l’ordre du jour, un seul sujet: «La crise socio-économique». Au terme des délibérations, il a annoncé «une grève ouverte et l’arrêt de tous les travaux d’entretien et d’opérations dans tous les centres d’Ogero sur l’ensemble du territoire national, à partir de mardi matin et jusqu’à l’obtention d’un réajustement des salaires de tous les employés (titulaires, journaliers, contractuels et assistants) d'une manière qui corresponde à la situation socio-économique actuelle».
Dans son communiqué, il a énuméré tous les défis auxquels ces derniers sont confrontés, soulignant qu’ils «ploient sous le poids de la crise et n’arrivent plus à assumer les frais de santé, de scolarités et d’universités».
Le syndicat a rappelé qu’«à aucun moment les employés d’Ogero n'ont failli à leurs devoirs vis-à-vis des abonnés, quelles que soient les circonstances (guerre, révolution, pandémie... ) mais qu’ils se retrouvent aujourd’hui au bord de l’asphyxie et incapables de patienter davantage».
Les employés d’Ogero avaient lancé un premier avertissement aux autorités, la semaine dernière, en annonçant, mardi dernier, une grève d’une semaine.
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