À l’occasion de la journée mondiale des disparus, fixée au 30 août, les familles des disparus au Liban et dans les geôles syriennes se sont réunies encore une fois dans le jardin Gibran Khalil Gibran, place Riad el-Solh, au centre-ville de Beyrouth. Munies des portraits de leurs proches, elles sont venues réclamer – comme elles le font depuis plus de 40 ans – que la vérité soit faite sur le sort des leurs.
Avec la promulgation, en novembre 2018, de la loi 105 sur les personnes victimes, elles avaient espéré une accélération du processus pouvant mener à la vérité. Mais il leur a fallu attendre deux ans pour que le gouvernement nomme les membres de la commission nationale indépendante chargée du dossier des disparus. Cinq des dix membres de ladite commission ont démissionné. Depuis, les familles attendent que le gouvernement signe le décret pour nommer les nouveaux membres, mais aussi pour assurer les moyens susceptibles de lui permettre d’accomplir sa tâche, comme le fait de lui assurer un local et les fonds nécessaires.
Avec la promulgation, en novembre 2018, de la loi 105 sur les personnes victimes, elles avaient espéré une accélération du processus pouvant mener à la vérité. Mais il leur a fallu attendre deux ans pour que le gouvernement nomme les membres de la commission nationale indépendante chargée du dossier des disparus. Cinq des dix membres de ladite commission ont démissionné. Depuis, les familles attendent que le gouvernement signe le décret pour nommer les nouveaux membres, mais aussi pour assurer les moyens susceptibles de lui permettre d’accomplir sa tâche, comme le fait de lui assurer un local et les fonds nécessaires.
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