Le Rassemblement de Saydet el-Jabal a affirmé lundi que «la déclaration conjointe franco-saoudienne signée samedi par le président français Emmanuel Macron et le prince héritier saoudien Mohammad ben Salman confirme le bien-fondé de la position nationale qui appelle à la libération du Liban de l’occupation iranienne par le biais des armes du Hezbollah».
Dans un communiqué publié à l’issue de sa réunion virtuelle hebdomadaire en présence notamment des anciens députés Farès Souhaid, Ahmad Fatfat et Antoine Andraos, Saydet el-Jabal a estimé que le texte Paris-Riyad «rend toute sa considération à la Constitution et à l’accord de Taëf» et «souligne l’attachement à la légitimité arabe et aux résolutions internationales 1559, 1680 et 1701 comme porte d’entrée pour la réédification du Liban et la refondation de son vivre-ensemble».
«Le blocage du gouvernement dont souffre le Liban est une résultante des tentatives répétées du Hezbollah de démettre le juge d’instruction dans le dossier de l’explosion du port de Beyrouth, Tarek Bitar», note par ailleurs le communiqué de Saydet el-Jabal. `
«Nous rejetons totalement ce chantage caractérisé exercé par le Hezbollah. Un parti armé ne peut pas continuer à dicter ses conditions à l’Etat et au peuple libanais», ajoute le rassemblement.
Saydet el-Jabal a par ailleurs rejeté le projet de loi sur le contrôle des capitaux discuté lundi à la Chambre, estimant qu’il «ne permet pas aux déposants de disposer de leur argent, mais rajoute au contraire davantage de contraintes à l’accès des gens à leurs comptes et torpille d’ores et déjà les éventuels recours qui pourraient être intentés devant la justice au Liban et à l’étranger».
«Ce projet vise avant toute chose à paralyser toute reddition de comptes visant chacun des responsables politiques et administratifs coupables de la crise actuelle qui a conduit à la banqueroute du secteur bancaire», a noté le rassemblement.
«Qu’est-il advenu des efforts visant à déterminer l’identité de ceux qui ont transféré des sommes d’argents considérables à l’étranger après l’effondrement économique, surtout à la lumière de la loi sur la levée du secret bancaire, dont les effets viennent bientôt à terme ?» s’est-il interrogé.
Saydet el-Jabal a enfin rappelé qu’il oeuvre pour «la création d’un conseil national transcommunautaire et transpartisan pour refaire l’unité interne garante de l’indépendance du Liban de façon à déterminer les moyens à même de libérer le Liban de l’occupation iranienne».
Dans un communiqué publié à l’issue de sa réunion virtuelle hebdomadaire en présence notamment des anciens députés Farès Souhaid, Ahmad Fatfat et Antoine Andraos, Saydet el-Jabal a estimé que le texte Paris-Riyad «rend toute sa considération à la Constitution et à l’accord de Taëf» et «souligne l’attachement à la légitimité arabe et aux résolutions internationales 1559, 1680 et 1701 comme porte d’entrée pour la réédification du Liban et la refondation de son vivre-ensemble».
«Le blocage du gouvernement dont souffre le Liban est une résultante des tentatives répétées du Hezbollah de démettre le juge d’instruction dans le dossier de l’explosion du port de Beyrouth, Tarek Bitar», note par ailleurs le communiqué de Saydet el-Jabal. `
«Nous rejetons totalement ce chantage caractérisé exercé par le Hezbollah. Un parti armé ne peut pas continuer à dicter ses conditions à l’Etat et au peuple libanais», ajoute le rassemblement.
Saydet el-Jabal a par ailleurs rejeté le projet de loi sur le contrôle des capitaux discuté lundi à la Chambre, estimant qu’il «ne permet pas aux déposants de disposer de leur argent, mais rajoute au contraire davantage de contraintes à l’accès des gens à leurs comptes et torpille d’ores et déjà les éventuels recours qui pourraient être intentés devant la justice au Liban et à l’étranger».
«Ce projet vise avant toute chose à paralyser toute reddition de comptes visant chacun des responsables politiques et administratifs coupables de la crise actuelle qui a conduit à la banqueroute du secteur bancaire», a noté le rassemblement.
«Qu’est-il advenu des efforts visant à déterminer l’identité de ceux qui ont transféré des sommes d’argents considérables à l’étranger après l’effondrement économique, surtout à la lumière de la loi sur la levée du secret bancaire, dont les effets viennent bientôt à terme ?» s’est-il interrogé.
Saydet el-Jabal a enfin rappelé qu’il oeuvre pour «la création d’un conseil national transcommunautaire et transpartisan pour refaire l’unité interne garante de l’indépendance du Liban de façon à déterminer les moyens à même de libérer le Liban de l’occupation iranienne».
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