Le vice-secrétaire général du Hezbollah, le cheikh Naïm Kassem, a affirmé dimanche être en faveur de la formation d’un gouvernement «même à une ou deux semaines de la fin du mandat présidentiel». Selon lui, la situation sera alors «meilleure que celle dans laquelle nous nous trouvons, puisque le cabinet est le point de passage pour tout plan de redressement».
Le numéro deux du mouvement chiite a estimé que le gouvernement pourrait régler certains des problèmes existants, voire même la problématique liée à la présidence de la République au cas où un successeur au chef de l’État, Michel Aoun, n’est pas élu dans les délais constitutionnels. Ce qui, selon lui, évitera le débat sur les prérogatives d’un gouvernement d’expédition des affaires courantes, à savoir s’il pourra, ou non, se voir transmettre celles du président de la République.
Le cheikh Kassem a appelé à cet égard les parties concernées à faire preuve de flexibilité et à accepter des compromis, d’autant qu’«il n’est pas possible d’enregistrer des acquis personnels dans le cadre du gouvernement, mais que la formation de celui-ci peut aboutir à des acquis importants au niveau de la patrie». Il a émis le souhait que la présidentielle soit tenue dans les délais constitutionnels.
Le cheikh Kassem a en outre critiqué «ceux qui font preuve d’une logique obstructionniste». «En évoquant les échéances, certains députés et responsables posent des conditions comme s’ils en avaient le droit et pas les autres», dans une allusion aux députés et personnalités de l’opposition qui réclament un président non-aligné à l’axe de la moumanaa. En ce qui concerne la personnalité qui pourrait accéder à la première magistrature, le cheikh Kassem a déclaré «qu’il est nécessaire de dégager des dénominateurs communs avec les autres forces politiques pour choisir un président qui satisferait les différents groupes».
Concernant la délimitation des frontières maritimes entre le Liban et Israël, le cheikh Kassem a affirmé attendre «que la donne soit davantage clarifiée». «La position du Hezbollah reste inchangée, a-t-il affirmé. Nous réclamons la totalité de nos droits en ressources hydrauliques, pétrolières et gazières.» Et le cheikh Kassem de conclure: «Nous suivons les développements liés à ce dossier. C’est sur cette base que nous nous exprimerons de la manière appropriée et en temps opportun.» Le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, avait déjà menacé Israël, à plusieurs reprises, de recourir à l’escalade au cas où les demandes de l’État libanais ne sont pas satisfaites.
Le numéro deux du mouvement chiite a estimé que le gouvernement pourrait régler certains des problèmes existants, voire même la problématique liée à la présidence de la République au cas où un successeur au chef de l’État, Michel Aoun, n’est pas élu dans les délais constitutionnels. Ce qui, selon lui, évitera le débat sur les prérogatives d’un gouvernement d’expédition des affaires courantes, à savoir s’il pourra, ou non, se voir transmettre celles du président de la République.
Le cheikh Kassem a appelé à cet égard les parties concernées à faire preuve de flexibilité et à accepter des compromis, d’autant qu’«il n’est pas possible d’enregistrer des acquis personnels dans le cadre du gouvernement, mais que la formation de celui-ci peut aboutir à des acquis importants au niveau de la patrie». Il a émis le souhait que la présidentielle soit tenue dans les délais constitutionnels.
Le cheikh Kassem a en outre critiqué «ceux qui font preuve d’une logique obstructionniste». «En évoquant les échéances, certains députés et responsables posent des conditions comme s’ils en avaient le droit et pas les autres», dans une allusion aux députés et personnalités de l’opposition qui réclament un président non-aligné à l’axe de la moumanaa. En ce qui concerne la personnalité qui pourrait accéder à la première magistrature, le cheikh Kassem a déclaré «qu’il est nécessaire de dégager des dénominateurs communs avec les autres forces politiques pour choisir un président qui satisferait les différents groupes».
Concernant la délimitation des frontières maritimes entre le Liban et Israël, le cheikh Kassem a affirmé attendre «que la donne soit davantage clarifiée». «La position du Hezbollah reste inchangée, a-t-il affirmé. Nous réclamons la totalité de nos droits en ressources hydrauliques, pétrolières et gazières.» Et le cheikh Kassem de conclure: «Nous suivons les développements liés à ce dossier. C’est sur cette base que nous nous exprimerons de la manière appropriée et en temps opportun.» Le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, avait déjà menacé Israël, à plusieurs reprises, de recourir à l’escalade au cas où les demandes de l’État libanais ne sont pas satisfaites.
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