La visite de l’ambassadeur saoudien au Liban Walid al-Boukhari chez le chef du parti socialiste progressiste Walid Joumblatt s’inscrirait dans le cadre d’une médiation franco-saoudienne visant à accélérer les tractations politiques en vue de la présidentielle, selon des sources informées.
Le chef du Parti socialiste progressiste Walid Joumblatt a reçu lundi en début de soirée l’ambassadeur de l’Arabie saoudite au Liban, Walid al-Boukhari à Clémenceau pour discuter des derniers développements politiques au Liban.
Après un entretien qui a duré plus de 45 minutes, le leader druze a annoncé qu’il avait abordé plusieurs points avec son invité, notamment la nécessité de préserver la stabilité du pays, l’importance du respect de l’accord de Taëf, de la Constitution et des délais constitutionnels, lors d’un bref point de presse, à l’issue de son aparté avec le diplomate saoudien.
M. Boukhari aurait lui aussi réitéré l’importance d’élire un président de la République dans les délais, "qui ne soit pas noyé dans la corruption et qui ne fasse pas parti du camp du 8 Mars". "L’Arabie saoudite ne s’ingérera pas dans le dossier présidentiel et ne soutiendra aucune candidature, mais elle souhaiterait l’élection d’un chef de l’État honnête et transparent", aurait-il confié à M. Joumblatt.
La visite de l’ambassadeur saoudien chez Walid Joumblatt s’inscrirait dans le cadre d’une médiation franco-saoudienne visant à accélérer les tractations politiques en vue de la présidentielle, selon des informations rapportées par des sources informées.
M. Boukhari avait participé à la 40e commémoration de l’assassinat du feu président Bachir Gemayel mercredi dernier, lançant un message clair en direction du camp du 8 Mars : le royaume wahhabite soutient ouvertement et publiquement les opposants à l’axe syro-iranien. En effet, sa présence est venue renforcer la position de Riyad contre un président de la République soumis au diktat des mollahs.
Par ailleurs, la secrétaire d’État adjointe aux affaires du Proche-Orient Barbara Leaf devrait rencontrer cette semaine à New York des diplomates saoudiens et français (lors de l’Assemblée générale des Nations Unies, NDLR) pour discuter de l’échéance présidentielle libanaise.
Le chef du Parti socialiste progressiste Walid Joumblatt a reçu lundi en début de soirée l’ambassadeur de l’Arabie saoudite au Liban, Walid al-Boukhari à Clémenceau pour discuter des derniers développements politiques au Liban.
Après un entretien qui a duré plus de 45 minutes, le leader druze a annoncé qu’il avait abordé plusieurs points avec son invité, notamment la nécessité de préserver la stabilité du pays, l’importance du respect de l’accord de Taëf, de la Constitution et des délais constitutionnels, lors d’un bref point de presse, à l’issue de son aparté avec le diplomate saoudien.
M. Boukhari aurait lui aussi réitéré l’importance d’élire un président de la République dans les délais, "qui ne soit pas noyé dans la corruption et qui ne fasse pas parti du camp du 8 Mars". "L’Arabie saoudite ne s’ingérera pas dans le dossier présidentiel et ne soutiendra aucune candidature, mais elle souhaiterait l’élection d’un chef de l’État honnête et transparent", aurait-il confié à M. Joumblatt.
La visite de l’ambassadeur saoudien chez Walid Joumblatt s’inscrirait dans le cadre d’une médiation franco-saoudienne visant à accélérer les tractations politiques en vue de la présidentielle, selon des informations rapportées par des sources informées.
M. Boukhari avait participé à la 40e commémoration de l’assassinat du feu président Bachir Gemayel mercredi dernier, lançant un message clair en direction du camp du 8 Mars : le royaume wahhabite soutient ouvertement et publiquement les opposants à l’axe syro-iranien. En effet, sa présence est venue renforcer la position de Riyad contre un président de la République soumis au diktat des mollahs.
Par ailleurs, la secrétaire d’État adjointe aux affaires du Proche-Orient Barbara Leaf devrait rencontrer cette semaine à New York des diplomates saoudiens et français (lors de l’Assemblée générale des Nations Unies, NDLR) pour discuter de l’échéance présidentielle libanaise.
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