L’exposition des œuvres de l’artiste mexicaine Margarita Morales à la galerie Janine Rubeiz tire à sa fin. Il vous reste quelques jours pour découvrir l’univers de l’artiste, un savant cocktail de couleurs et de bonne humeur.
Margarita est une peintre mexicaine dont le nom seul évoque l’apéritif éponyme renommé et tonique à base de Tequila et de citron vert, capable de faire scintiller nos sombres soirées de milles et une étoiles.
À l’instar de cet apéritif, l’univers de l’artiste à la joie pétillante nous est distillé subtilement à travers ses œuvres. Des toiles au fond sombre, hésitant entre noir profond et bleu nuit, semblent soudain éclairées par un projecteur faisant surgir l’inattendu et l’impalpable. Des fleurs frétillantes naissent au milieu du bitume en notes de couleurs jaillissantes comme autant de pulsations de la vie même... Du fond de l’ombre, émergent ainsi des forces vives invitant à la fête et à la danse dans une joie primesautière pour une célébration de plaisirs dionysiaques aussi intenses qu’ils sont éphémères...
Ces œuvres quasi abstraites nous rappellent ainsi que de la faille naît la lumière. À l’instar de la boîte noire du photographe, elles font effet de révélateurs et reflètent l’inconscient de l’artiste venant faire écho à notre propre imaginaire. Elles véhiculent aussi un message fort, porteur d’espoir: celui de l’œuvre artistique capable par sa magie de transformer les ténèbres où se noient toutes nos certitudes en énergie positive, bienfaisante et régénératrice.
Les tableaux aux contours flous et embrumés, nimbés de lumière sont une invitation à la contemplation mystique et à la prière. La toile devient alors un espace d’intériorité et de mystère, un espace de méditation et de lâcher-prise où l’artiste nous incite, dans un abandon total à la toile, à nous laisser envahir par l’émotion, à ressentir les palpitations de la nature, ses parfums, ses senteurs et ses couleurs. L’artiste nous emporte alors dans un tourbillon d’arcs-en-ciel, nous happe dans un halo de faisceaux lumineux pour une expérience sensorielle inégalée.
Un cocktail explosif à la Margarita Morales qui vaut certainement le détour, le temps d’une exposition... jusqu’au 28 septembre.
Site web de Jocelyne Ghannagé: joganne.com
Margarita est une peintre mexicaine dont le nom seul évoque l’apéritif éponyme renommé et tonique à base de Tequila et de citron vert, capable de faire scintiller nos sombres soirées de milles et une étoiles.
À l’instar de cet apéritif, l’univers de l’artiste à la joie pétillante nous est distillé subtilement à travers ses œuvres. Des toiles au fond sombre, hésitant entre noir profond et bleu nuit, semblent soudain éclairées par un projecteur faisant surgir l’inattendu et l’impalpable. Des fleurs frétillantes naissent au milieu du bitume en notes de couleurs jaillissantes comme autant de pulsations de la vie même... Du fond de l’ombre, émergent ainsi des forces vives invitant à la fête et à la danse dans une joie primesautière pour une célébration de plaisirs dionysiaques aussi intenses qu’ils sont éphémères...
Ces œuvres quasi abstraites nous rappellent ainsi que de la faille naît la lumière. À l’instar de la boîte noire du photographe, elles font effet de révélateurs et reflètent l’inconscient de l’artiste venant faire écho à notre propre imaginaire. Elles véhiculent aussi un message fort, porteur d’espoir: celui de l’œuvre artistique capable par sa magie de transformer les ténèbres où se noient toutes nos certitudes en énergie positive, bienfaisante et régénératrice.
Les tableaux aux contours flous et embrumés, nimbés de lumière sont une invitation à la contemplation mystique et à la prière. La toile devient alors un espace d’intériorité et de mystère, un espace de méditation et de lâcher-prise où l’artiste nous incite, dans un abandon total à la toile, à nous laisser envahir par l’émotion, à ressentir les palpitations de la nature, ses parfums, ses senteurs et ses couleurs. L’artiste nous emporte alors dans un tourbillon d’arcs-en-ciel, nous happe dans un halo de faisceaux lumineux pour une expérience sensorielle inégalée.
Un cocktail explosif à la Margarita Morales qui vaut certainement le détour, le temps d’une exposition... jusqu’au 28 septembre.
Site web de Jocelyne Ghannagé: joganne.com
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