La députée de Jezzine membre du bloc parlementaire des Forces libanaises (FL) Ghada Ayoub a insisté mardi sur "la nécessité d’élire un président prêt à la confrontation", soulignant que l’expérience a montré, avec la présidence de Michel Aoun, qu’un président issu du 8 Mars ne peut être la solution. Et d’ajouter : "Il faut élire un président qui respecte la Constitution libanaise et s'engage à sa mise en œuvre, un président ayant la volonté de construire l’État et des institutions."
Évoquant la déclaration américano-franco-saoudienne suite à la réunion concernant le Liban à New York de représentants de ces trois pays, la députée de Jezzine a confirmé qu’elle "confirmait les demandes des FL aux regards des qualités du prochain président". Et de souligner : "Le président de la République doit d’abord respecter l'accord de Taëf, ensuite les résolutions internationales, et finalement mettre en place les réformes structurelles nécessaires."
Ghada Ayoub a également critiqué le budget de 2022, contre lequel les Forces libanaises ont voté lundi, et les déclarations "populistes qui ne mènent à aucune solution à la crise actuelle". Elle a en outre souligné la nécessité de mettre en place les reformes requises par le Fonds monétaire international (FMI). Mais la députée, spécialiste universitaire en droit fiscal, a précisé qu’un accord final avec le FMI est simple, mais qu’il faut " avant tout avoir confiance en une classe dirigeante qui ferait preuve de transparence et d'intégrité pour gérer l'argent qui découlerait d’un tel accord". Et de conclure : "Nous (les FL) sommes en mesure de conclure cet accord et de mettre en œuvre les réformes nécessaires en dirigeant ces fonds pour favoriser la croissance du pays et le faire sortir de ses crises. "
Évoquant la déclaration américano-franco-saoudienne suite à la réunion concernant le Liban à New York de représentants de ces trois pays, la députée de Jezzine a confirmé qu’elle "confirmait les demandes des FL aux regards des qualités du prochain président". Et de souligner : "Le président de la République doit d’abord respecter l'accord de Taëf, ensuite les résolutions internationales, et finalement mettre en place les réformes structurelles nécessaires."
Ghada Ayoub a également critiqué le budget de 2022, contre lequel les Forces libanaises ont voté lundi, et les déclarations "populistes qui ne mènent à aucune solution à la crise actuelle". Elle a en outre souligné la nécessité de mettre en place les reformes requises par le Fonds monétaire international (FMI). Mais la députée, spécialiste universitaire en droit fiscal, a précisé qu’un accord final avec le FMI est simple, mais qu’il faut " avant tout avoir confiance en une classe dirigeante qui ferait preuve de transparence et d'intégrité pour gérer l'argent qui découlerait d’un tel accord". Et de conclure : "Nous (les FL) sommes en mesure de conclure cet accord et de mettre en œuvre les réformes nécessaires en dirigeant ces fonds pour favoriser la croissance du pays et le faire sortir de ses crises. "
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