Synopsis
Tout le monde a toujours aimé Jeanne. Aujourd’hui, elle se déteste. Surendettée, elle doit se rendre à Lisbonne et mettre en vente l’appartement de sa mère disparue un an auparavant. À l’aéroport, elle tombe sur Jean, un ancien camarade de lycée fantasque et quelque peu envahissant.
L’avant-propos de Jean-Jacques Moscovitz
Elle l’appelle enfin de son nom: Jean! Et lui, il l’appelle: Jeanne, de son nom... L’amour jouxte au cœur de la douleur. Pour Jeanne c’est un deuil intrafamilial très récent et une catastrophe politique et professionnelle. Lisbonne, le port industriel. C’est leur lieu de leur déclaration d’amour. Mais en plein vacarme du monde, Nausicaa ne sauve pas, le projet de Jeanne Mayer qui tombe à l’eau… Le miracle de la protection de notre merveilleuse Terre Mère contre l’effet de serre est au fond des mers. Jean et Jeanne se nomment comme dans la bible. Pour exister dans les mots, les leurs, les traits signifiants de leurs pensées intimes. Ces traits ici sont dessinés, illustrations animées par la créatrice du film, Céline Devaux. Par de tels traits parlants, parlés, les images redoublent de présence. Sortie intacte du passé infantile, une réserve d’amour de tous pour Jeanne crée du désir chez chacune, chacun. Oui les vocables dépression, hôpital, névrose, souffrance psychotique, psychanalyse, balisent le vécu du spectateur pour accueillir une hypothèse, actrice principale du film, celle de l’amour. Chacune, chacun redécouvre son désir de parole de mieux en mieux. Qui parle offre de l’amour, qui écoute en reçoit. Les bogs, les achoppements toujours là forcent à vivre. Les silences des couleurs enchaînent les mots pour les rendre instants sur fond de vrais moments subjectivants. Le spectateur est invité à regarder les héros s’entre-naître par un travail de deuil face à l’angoisse et l’adversité intimes de chacun. Leçon de rencontre, de désir d’aimer pour nous tous»...
Tout le monde a toujours aimé Jeanne. Aujourd’hui, elle se déteste. Surendettée, elle doit se rendre à Lisbonne et mettre en vente l’appartement de sa mère disparue un an auparavant. À l’aéroport, elle tombe sur Jean, un ancien camarade de lycée fantasque et quelque peu envahissant.
L’avant-propos de Jean-Jacques Moscovitz
Elle l’appelle enfin de son nom: Jean! Et lui, il l’appelle: Jeanne, de son nom... L’amour jouxte au cœur de la douleur. Pour Jeanne c’est un deuil intrafamilial très récent et une catastrophe politique et professionnelle. Lisbonne, le port industriel. C’est leur lieu de leur déclaration d’amour. Mais en plein vacarme du monde, Nausicaa ne sauve pas, le projet de Jeanne Mayer qui tombe à l’eau… Le miracle de la protection de notre merveilleuse Terre Mère contre l’effet de serre est au fond des mers. Jean et Jeanne se nomment comme dans la bible. Pour exister dans les mots, les leurs, les traits signifiants de leurs pensées intimes. Ces traits ici sont dessinés, illustrations animées par la créatrice du film, Céline Devaux. Par de tels traits parlants, parlés, les images redoublent de présence. Sortie intacte du passé infantile, une réserve d’amour de tous pour Jeanne crée du désir chez chacune, chacun. Oui les vocables dépression, hôpital, névrose, souffrance psychotique, psychanalyse, balisent le vécu du spectateur pour accueillir une hypothèse, actrice principale du film, celle de l’amour. Chacune, chacun redécouvre son désir de parole de mieux en mieux. Qui parle offre de l’amour, qui écoute en reçoit. Les bogs, les achoppements toujours là forcent à vivre. Les silences des couleurs enchaînent les mots pour les rendre instants sur fond de vrais moments subjectivants. Le spectateur est invité à regarder les héros s’entre-naître par un travail de deuil face à l’angoisse et l’adversité intimes de chacun. Leçon de rencontre, de désir d’aimer pour nous tous»...
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