La future équipe de Trump victime de \
Cette combinaison d'images créées le 23 novembre 2024 montre (En haut, 1ère rangée de gauche) Pete Hegseth, le gouverneur du Dakota du Nord Doug Burgum, Janette Nesheiwat, Elon Musk, la gouverneure républicaine du Dakota du Sud Kristi Noem, (2ème rangée de gauche) le représentant américain John Ratcliffe, Karoline Leavitt, Russell Vought, l'ancien administrateur de la Small Business Administration Linda McMahon, l'entrepreneur américain et ancien candidat républicain à l'élection présidentielle Vivek Ramaswamy, (3ème rangée de gauche) Thomas Homan, Scott Turner, le candidat indépendant à l'élection présidentielle Robert F. Kennedy Jr, Lori Chavez-DeRemer, représentante des États-Unis (R-OR), Stephen Miller, conseiller politique, (4e rangée à partir de la gauche) Doug Collins, représentant des États-Unis (R-GA), Susie Wiles, Lee Zeldin, membre du Congrès, Marco Rubio, sénateur des États-Unis et républicain de Floride, Mehmet Oz, (5e rangée à partir de la gauche) Elise Stefanik, présidente de la conférence républicaine de la Chambre des représentants (R-NY), Sean Duffy, l'ancien procureur général de Floride Pam Bondi, le représentant américain Michael Waltz, républicain de Floride, Scott Bessent, (6e rangée à partir de G) Matthew Whitaker, l'ancien procureur général des États-Unis par intérim, l'ancienne représentante des États-Unis Tulsi Gabbard, Howard Lutnick, président-directeur général de Cantor Fitzgerald et co-président de l'équipe de transition Trump 2024, Brooke Rollins, et Brendan Carr, ancien commissaire de la Commission fédérale des communications ©Photo de diverses sources / AFP

Plusieurs membres de la future administration de Donald Trump ont été victimes de "menaces", a dit mercredi la porte-parole du président élu, évoquant notamment des "alertes à la bombe".

"Hier soir et ce matin, plusieurs personnes nommées par le président Trump pour rejoindre son équipe ont été victimes de menaces violentes et anti-américaines", a affirmé Karoline Leavitt dans un communiqué.

La porte-parole de Donald Trump a évoqué "des attaques" allant "d'alertes à la bombe" au "swatting", pratique qui consiste à provoquer des descentes de police chez les victimes, sans donner davantage de détails.

La police fédérale, le FBI, a confirmé avoir "connaissance de nombreuses alertes à la bombe et de faits de swatting visant des personnes amenées à rejoindre la prochaine administration".

"Nous prenons toutes les menaces potentielles au sérieux', a-t-elle assuré dans un communiqué.

L'élue Elise Stefanik, nommée par Donald Trump pour être ambassadrice américaine à l'ONU, a affirmé dans un communiqué avoir été "avertie d'une alerte à la bombe à (son) domicile".

La campagne présidentielle a été l'une des plus tendues de l'histoire moderne des États-Unis, Donald Trump ayant notamment été victime de deux tentatives d'assassinat.

Avec AFP

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