Michel Moawad, député du bloc Renouveau, a affirmé qu’il «incarne le choix de la souveraineté, de l’État, de la réforme, de la réconciliation et de l’entente». S’exprimant à l’issue de la première séance parlementaire consacrée pour l’élection du président de la République, au cours de laquelle il a recueilli 36 voix, contre 11 pour Salim Eddé et 63 votes blancs, M. Moawad a noté que «cette séance a constitué un pas fondamental vers l’unification de l’opposition qui m’a accordé ses voix». «En plus des 36 voix obtenues, quatre députés me soutiennent, mais n’ont pas pu pris part à la séance, a poursuivi M. Moawad. Parmi eux, Fouad Makhzoumi, Sélim Sayegh et Sethrida Geagea.»
M. Moawad a souligné par ailleurs que «l’entente ne peut être bâtie sur la question des armes ou en imposant des idéologies». «Elle ne peut être bâtie que sous la houlette de l’État, a-t-il affirmé. Mon choix, c'est de rétablir les liens du Liban avec la légalité arabe et internationale.»
Et M. Moawad d’insister: «Mon choix est celui du retour à la Constitution, à l’accord de Taëf, à l’État de droit, à la décentralisation élargie, à l’indépendance de la justice et à la lutte contre la corruption.» «Nombreux sont ceux qui souhaitent me griller, mais tout le monde est sérieux, a noté M. Moawad. Une majorité de l’opposition a voté pour moi. Je tends la main au reste des composantes de l’opposition, notamment celles qui ont inscrit Liban sur leurs bulletins de vote, ainsi qu’aux députés du changement, avec qui nous partagerons la même vision du Liban, même si nos approches diffèrent, pour unifier nos rangs, parce que, seuls, nous ne pourrons pas recouvrer la souveraineté libanaise et réaliser des réformes.»
M. Moawad a souligné par ailleurs que «l’entente ne peut être bâtie sur la question des armes ou en imposant des idéologies». «Elle ne peut être bâtie que sous la houlette de l’État, a-t-il affirmé. Mon choix, c'est de rétablir les liens du Liban avec la légalité arabe et internationale.»
Et M. Moawad d’insister: «Mon choix est celui du retour à la Constitution, à l’accord de Taëf, à l’État de droit, à la décentralisation élargie, à l’indépendance de la justice et à la lutte contre la corruption.» «Nombreux sont ceux qui souhaitent me griller, mais tout le monde est sérieux, a noté M. Moawad. Une majorité de l’opposition a voté pour moi. Je tends la main au reste des composantes de l’opposition, notamment celles qui ont inscrit Liban sur leurs bulletins de vote, ainsi qu’aux députés du changement, avec qui nous partagerons la même vision du Liban, même si nos approches diffèrent, pour unifier nos rangs, parce que, seuls, nous ne pourrons pas recouvrer la souveraineté libanaise et réaliser des réformes.»
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