Le Conseil des ministres approuve l’exposé des motifs du projet de loi sur la restructuration des banques
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Le Premier ministre Nawaf Salam a présidé mardi dans la matinée une séance du Conseil des ministres, à laquelle ont assisté le vice-président du gouvernement, Tarek Mitri, ainsi que les ministres des Finances, Yassine Jaber; de la Culture, Ghassan Salamé; de l’Énergie et l’Eau, Joe Saddi; du Tourisme, Laura el-Khazen; des Affaires sociales, Hanine el-Sayed; des Affaires étrangères et des Émigrés, Youssef Raggi; de l’Économie et du Commerce, Amer Bsat; des Déplacés, des Technologies de l'information et de l’Intelligence artificielle, Kamal Chéhadé; de l’Intérieur et des Municipalités, le général Ahmad el-Hajjar; de la Justice, Adel Nassar; des Télécoms, Charles el-Hajj; de la Jeunesse et Sports, Nora Baïrakdarian; de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, Rima Karamé; de l’Industrie, Joe Issa el-Khoury; du Développement industriel, Fadi Makki; du Travail, Mohammad Haidar; des Travaux publics et des Transports, Fayez Rasamny; de l’Agriculture, Nizar Hani; de l’Information, Paul Morcos; de l’Environnement, Tamara Zein; et de la Santé publique, Rakan Nasreddine. Étaient également présents le directeur général de la présidence de la République, Antoine Choucair, et le secrétaire général du Conseil des ministres, le juge Mahmoud Makiyé.

Au cours de cette séance, le Conseil des ministres a décidé de se réunir à nouveau vendredi et samedi afin de poursuivre l’examen du dossier relatif à la réorganisation du secteur bancaire.

Il a par ailleurs approuvé les attendus du projet de loi sur la réorganisation des banques, dont l’étude se poursuivra lors de la séance de vendredi prochain.

À l’issue des discussions, le ministre de l’Information, Me Paul Morcos, a déclaré: “Le gouvernement a adopté, en première étape, un projet de loi visant à amender la législation sur le secret bancaire, en vue de remédier à la crise financière.” Il a ajouté: “Nous espérons que le Parlement adoptera les lois portant sur la modification du secret bancaire et la réforme du secteur bancaire, condition indispensable pour combler le déficit. Nous sommes désormais engagés sur la voie du redressement.”

Enfin, M. Morcos a souligné que “le projet de loi actuellement à l’étude au sein du Conseil suscite un vif intérêt, tant sur le plan national qu’international”.

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