
C’est le nombre de motocyclettes officiellement enregistrées au Liban jusqu’en 2022, selon l’Autorité de gestion du trafic et des véhicules (la «Mécanique»), d’après les données du bureau d’études Information International.
Un chiffre largement en dessous de la réalité: il ne représenterait que 20% environ du parc réel de motos en circulation, selon la même source. Rien qu’en 2023 et 2024, plus de 50.000 motocyclettes ont été importées chaque année.
En tenant compte des véhicules non enregistrés ou échappant au contrôle administratif, le nombre réel de deux-roues en circulation dépasserait aujourd’hui 1,5 million.
Pourquoi un tel écart? De nombreux propriétaires choisissent de ne pas enregistrer leur motocyclette pour éviter les frais administratifs, estimés à environ 200 dollars un montant qui n’inclut pas la prime d’assurance obligatoire, fixée au minimum à 25 dollars.
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