
Le président américain, Donald Trump, a estimé, mardi, que le Liban est une victime de l’Iran et du Hezbollah, accusant ce groupe d’avoir «pillé l’État».
Le président américain, Donald Trump, a consacré une partie du discours qu’il a prononcé mardi, au Forum d'investissement américano-saoudien, au dossier libanais.
Il a affirmé que les États-Unis «sont prêts à aider le pays à construire un avenir fondé sur le développement économique et la paix avec ses voisins», en allusion à la Syrie et à Israël.
«J’entends dire que la nouvelle administration au Liban est professionnelle et veut le meilleur» pour le pays, a-t-il encore dit, avant de critiquer le rôle «destructeur» du Hezbollah et de son parrain iranien.
«Le Hezbollah a apporté la misère au Liban et à son peuple. Il a pillé l’État», a-t-il accusé, décrivant le pays du Cèdre comme une «victime du Hezbollah et de l’Iran».
Donald Trump a estimé qu’une telle situation aurait pu être évitée. «L’Iran aurait pu se concentrer sur le développement au lieu de choisir la voie de la destruction dans la région», a-t-il ajouté.
Il a accusé de manière générale Téhéran et ses alliés d’avoir «plongé la région dans l’instabilité et la misère».
«Les prétendus bâtisseurs de nations ont détruit plus de pays qu’ils n’en ont construit», a-t-il avancé, affirmant que «le terrorisme à Gaza et au Liban a coûté la vie à de nombreuses personnes».
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