
Selon les statistiques officielles et les rapports de plusieurs banques locales, la dette publique du Liban a franchi le seuil des 100 milliards de dollars. Ce niveau historique reflète des années d’accumulation de déficits budgétaires, d’une gestion publique inefficace, d’une mauvaise gouvernance financière et d’une absence de réformes structurelles.
Cette dette inclut à la fois la dette interne et la dette externe contractée par l’État, et continue de croître dans un contexte économique marqué par l’instabilité, la crise bancaire et l’effondrement des services publics.
Le franchissement de cette barre symbolique souligne l’urgence d’un plan de redressement économique clair, coordonné et crédible.
Commentaires