L’histoire d’un hameau isolé, qui a choisi la paix, dont la vie est tissée de fil barbelé.
Dans un pays déchiré par la guerre, aux abords d’un cimetière où règnent l’amour et le silence qui l’accompagne, résonne la voix des femmes charriant la vie. Car c’est bien de la vie qu’il s’agit. La vie portée par les femmes. Ces femmes qui portent la vie.
C’est une longue histoire, de sombres ombres noires, ni étoiles brillantes ni fleurs étincelantes, aux yeux maquillés de cendres et de pleurs, qui pour protéger les leurs, se sont vêtues de courage et de vertus.
Et maintenant on va où?
Nulle part sans doute, si l’on se perd dans les stériles clivages que sont les appartenances et différences religieuses.
Partout, indubitablement, si l’on est une femme, une femme qui marche et qui avance vers ce grand «Où» qu’est la victoire sur les a priori. Et sur la guerre.
Ce grand «Où» qui est un itinéraire haut en couleur, caustique parfois, et qui ne peut, qui ne veut mener à l’amour.
L’amour comme l’humour, le pansement nécessaire pour que cicatrisent durablement les blessures de la guerre.
Nadine Labaki jongle avec aisance avec ses héroïnes, les voilant et les dévoilant tant et si bien que l’on ne sait, nous, spectateurs, si l’on doit en pleurer ou en rire.
Et maintenant on va où?
C’est sans conteste un film culte qui mérite d’être vu et revu et qui en dit plus que tous les discours politiques.
Mona Azzam
Instagram:
Dans un pays déchiré par la guerre, aux abords d’un cimetière où règnent l’amour et le silence qui l’accompagne, résonne la voix des femmes charriant la vie. Car c’est bien de la vie qu’il s’agit. La vie portée par les femmes. Ces femmes qui portent la vie.
C’est une longue histoire, de sombres ombres noires, ni étoiles brillantes ni fleurs étincelantes, aux yeux maquillés de cendres et de pleurs, qui pour protéger les leurs, se sont vêtues de courage et de vertus.
Et maintenant on va où?
Nulle part sans doute, si l’on se perd dans les stériles clivages que sont les appartenances et différences religieuses.
Partout, indubitablement, si l’on est une femme, une femme qui marche et qui avance vers ce grand «Où» qu’est la victoire sur les a priori. Et sur la guerre.
Ce grand «Où» qui est un itinéraire haut en couleur, caustique parfois, et qui ne peut, qui ne veut mener à l’amour.
L’amour comme l’humour, le pansement nécessaire pour que cicatrisent durablement les blessures de la guerre.
Nadine Labaki jongle avec aisance avec ses héroïnes, les voilant et les dévoilant tant et si bien que l’on ne sait, nous, spectateurs, si l’on doit en pleurer ou en rire.
Et maintenant on va où?
C’est sans conteste un film culte qui mérite d’être vu et revu et qui en dit plus que tous les discours politiques.
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