L’ancien secrétaire d’État adjoint américain pour les affaires du Moyen-Orient, David Schenker a déclaré qu’il existe toujours "de fortes chances qu’une guerre éclate entre le Hezbollah et Israël, en dépit des progrès effectués dans le dossier de la délimitation de la frontière maritime entre les deux pays". M. Schenker a tenu ces propos au cours d’une interview accordée à la chaîne israélienne i24, mardi matin.
"La proposition d’Amos Hochstein (envoyé américain chargé du dossier) n’a pas pour but de réduire les tensions tout au long de la ligne bleue où forera le Hezbollah", a indiqué l’ancien diplomate américain, soulignant que "l’accord sur la délimitation pourrait suspendre le conflit entre les deux pays pour un certain temps, mais ne garantira pas la sécurité d’Israël".
Par ailleurs, M. Schenker a considéré que "malgré le fait qu’Israël ait accepté 100% des revendications libanaises, il n’en demeure pas moins que le champ de Cana, soumis à l’autorité libanaise, ne contient que très peu de réserves".
Interrogé sur la performance de l’administration du président américain Joe Biden dans la gestion de ce dossier, David Schenker a répondu qu’elle pourrait "certainement revendiquer la conclusion de l’accord comme une victoire, puisqu’elle s’inscrit dans le cadre de la préservation de la stabilité régionale", notant toutefois que "ses résultats demeurent incertains".
"La proposition d’Amos Hochstein (envoyé américain chargé du dossier) n’a pas pour but de réduire les tensions tout au long de la ligne bleue où forera le Hezbollah", a indiqué l’ancien diplomate américain, soulignant que "l’accord sur la délimitation pourrait suspendre le conflit entre les deux pays pour un certain temps, mais ne garantira pas la sécurité d’Israël".
Par ailleurs, M. Schenker a considéré que "malgré le fait qu’Israël ait accepté 100% des revendications libanaises, il n’en demeure pas moins que le champ de Cana, soumis à l’autorité libanaise, ne contient que très peu de réserves".
Interrogé sur la performance de l’administration du président américain Joe Biden dans la gestion de ce dossier, David Schenker a répondu qu’elle pourrait "certainement revendiquer la conclusion de l’accord comme une victoire, puisqu’elle s’inscrit dans le cadre de la préservation de la stabilité régionale", notant toutefois que "ses résultats demeurent incertains".
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