Cinq membres du Congrès américain ont envoyé une lettre au secrétaire d'État américain Anthony Blinken lui demandant de déployer tous les efforts nécessaires pour éviter une vacance présidentielle au Liban et la transformation de ce pays en État failli.
La lettre, datée du 19 octobre, a été envoyée par Darrell Issa, Darin Lahood, Debbie Dingell, David Joyce et Daniel Kildee, tous membres du Comité d'amitié américano-libanais.
Dans cette lettre, ils expriment leur « inquiétude constante pour le Liban et le peuple libanais, qui sont confrontés simultanément à une grave crise économique et à une incertitude politique nationale persistante ».
Ils rappellent qu’à « ce jour, le Parlement libanais n'a pas réussi à élire un nouveau président, l'économie s'est contractée de 60 % et 80 % de la population vit dans la pauvreté ».
Ils ajoutent que « les enjeux pour la région sont importants, et la stabilité à long terme du Moyen-Orient requiert que le Liban reste une nation stable, souveraine et indépendante tout en retrouvant la confiance internationale et la stabilité économique ».
Soulignant qu’une « nouvelle vacance présidentielle ne fera qu'exacerber la situation du Liban », les cinq députés américains demandent à l'Administration US « d'encourager les dirigeants du Parlement libanais à se réunir et à collaborer pour élire un nouveau président ».
Rappelant que le mandat du président Michel Aoun expire le 31 octobre, ils soulignent qu’il « est essentiel d'agir rapidement ».
« Tous les efforts diplomatiques doivent être déployés en vue de la formation rapide d'un gouvernement démocratique non-corrompu et les institutions gouvernementales libanaises doivent agir dans l'intérêt du peuple libanais et remplir le devoir constitutionnel fondamental d'élire un président », ajoutent les membres du Congrès.
« Nous ne pouvons pas permettre que le Liban devienne un État failli et apprécions l'attention continue des États-Unis à cet égard et le soutien au peuple libanais. Merci de porter de l'attention à cette affaire urgente », concluent-ils.
La lettre, datée du 19 octobre, a été envoyée par Darrell Issa, Darin Lahood, Debbie Dingell, David Joyce et Daniel Kildee, tous membres du Comité d'amitié américano-libanais.
Dans cette lettre, ils expriment leur « inquiétude constante pour le Liban et le peuple libanais, qui sont confrontés simultanément à une grave crise économique et à une incertitude politique nationale persistante ».
Ils rappellent qu’à « ce jour, le Parlement libanais n'a pas réussi à élire un nouveau président, l'économie s'est contractée de 60 % et 80 % de la population vit dans la pauvreté ».
Ils ajoutent que « les enjeux pour la région sont importants, et la stabilité à long terme du Moyen-Orient requiert que le Liban reste une nation stable, souveraine et indépendante tout en retrouvant la confiance internationale et la stabilité économique ».
Soulignant qu’une « nouvelle vacance présidentielle ne fera qu'exacerber la situation du Liban », les cinq députés américains demandent à l'Administration US « d'encourager les dirigeants du Parlement libanais à se réunir et à collaborer pour élire un nouveau président ».
Rappelant que le mandat du président Michel Aoun expire le 31 octobre, ils soulignent qu’il « est essentiel d'agir rapidement ».
« Tous les efforts diplomatiques doivent être déployés en vue de la formation rapide d'un gouvernement démocratique non-corrompu et les institutions gouvernementales libanaises doivent agir dans l'intérêt du peuple libanais et remplir le devoir constitutionnel fondamental d'élire un président », ajoutent les membres du Congrès.
« Nous ne pouvons pas permettre que le Liban devienne un État failli et apprécions l'attention continue des États-Unis à cet égard et le soutien au peuple libanais. Merci de porter de l'attention à cette affaire urgente », concluent-ils.
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