Une soirée magique, inoubliable. Samedi 22 octobre, il pleuvait des étoiles dans la salle des Ambassadeurs du Casino du Liban qui accueillait le concert de Yasmina Farah Massoud, le deuxième de «The Fabulous Series» après celui d’Aznavour. Il y va sans dire que le partenariat entre le Festival international de Jounieh, Joëlle Hajjar et le maestro Harout Fazlian, et le Casino du Liban est un tiercé gagnant qui nous fait chavirer le cœur concert après concert.
La belle dame brune, Yasmina Farah Massoud en l’occurrence, a galvanisé l’auditoire dans une salle qui a affiché complet dès que l’annonce du concert a été faite. Habillée par Karoline Lang, la dame en noir et en paillettes a séduit un public éclectique. Pour un laps de temps, les Libanais ont effectué un voyage dans le temps, loin de la crise économique et du désastre ambiant. Du temps où la vie nocturne brillait de mille feux et où le pays du Cèdre vivait ses heures de gloire que l’on pensait éternelles.
Ce concert fabuleux s’est déroulé selon un concept particulier que le maestro Harout Fazlian a conçu, à savoir raconter Barbara dans une fluidité musicale sans interruption entre une chanson et une autre. Également, accompagner la poésie de Barbara par un orchestre au complet alors qu’elle chantait avec, pour uniques notes de musique, les touches d’un piano. Ce fut certes audacieux, mais brillamment relevé par tous les protagonistes. Et si nous avons un seul mot à clamer haut et fort et à répéter, ce serait encore, encore, encore… Des encore, il y en a de prévu puisque le triumvirat nous promet des manifestations artistiques jusqu’en décembre 2022… voire au-delà!
Standing ovation à tous les protagonistes, de purs alchimistes qui pansent les bleus au cœur.
PS: Coïncidence ou signe du destin? Dans les archives du Casino du Liban, des coupures de presse annonçant un concert de Barbara en octobre 1962 ont été retrouvées. Comme le dit si bien Émile Zola: «Rien n’est jamais fini, il suffit d’un peu de bonheur pour que tout recommence.»
La belle dame brune, Yasmina Farah Massoud en l’occurrence, a galvanisé l’auditoire dans une salle qui a affiché complet dès que l’annonce du concert a été faite. Habillée par Karoline Lang, la dame en noir et en paillettes a séduit un public éclectique. Pour un laps de temps, les Libanais ont effectué un voyage dans le temps, loin de la crise économique et du désastre ambiant. Du temps où la vie nocturne brillait de mille feux et où le pays du Cèdre vivait ses heures de gloire que l’on pensait éternelles.
Ce concert fabuleux s’est déroulé selon un concept particulier que le maestro Harout Fazlian a conçu, à savoir raconter Barbara dans une fluidité musicale sans interruption entre une chanson et une autre. Également, accompagner la poésie de Barbara par un orchestre au complet alors qu’elle chantait avec, pour uniques notes de musique, les touches d’un piano. Ce fut certes audacieux, mais brillamment relevé par tous les protagonistes. Et si nous avons un seul mot à clamer haut et fort et à répéter, ce serait encore, encore, encore… Des encore, il y en a de prévu puisque le triumvirat nous promet des manifestations artistiques jusqu’en décembre 2022… voire au-delà!
Standing ovation à tous les protagonistes, de purs alchimistes qui pansent les bleus au cœur.
PS: Coïncidence ou signe du destin? Dans les archives du Casino du Liban, des coupures de presse annonçant un concert de Barbara en octobre 1962 ont été retrouvées. Comme le dit si bien Émile Zola: «Rien n’est jamais fini, il suffit d’un peu de bonheur pour que tout recommence.»
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