©Le négociateur en chef iranien Ali Bagheri, le 3 décembre dernier à Vienne. (Photo by JOE KLAMAR / AFP)
Le négociateur en chef iranien Ali Bagheri a fait état dimanche de progrès concernant l'ordre du jour des sujets à discuter lors des pourparlers sur le nucléaire iranien qui se déroulent actuellement à Vienne.
"Les deux parties sont sur le point de se mettre d'accord sur les questions qui devraient être à l'ordre du jour. C'est une évolution positive et importante car, au début, elles n'étaient même pas d'accord sur les questions à négocier", a déclaré M. Bagheri à l'agence officielle iranienne Irna.
"Il y a deux questions essentielles à résoudre: la première c'est la différence d'opinions des parties sur ce qui devrait être négocié et la deuxième ce sont les différences de position sur les questions proprement dites", a-t-il ajouté.
Après cinq mois d'interruption, les négociations pour sauver l'accord sur le nucléaire iranien ont repris le 29 novembre à Vienne. Elles réunissent les pays toujours parties à l'accord de 2015 soit la France, la Grande-Bretagne, l'Allemagne, la Chine, la Russie et l'Iran.
Les Etats-Unis, qui se sont retirés unilatéralement du pacte en 2018 et ont rétabli des sanctions contre Téhéran sous la présidence de Donald Trump, y participent indirectement.
L'accord de Vienne offrait à Téhéran la levée d'une partie des sanctions étouffant son économie en échange d'une réduction drastique de son programme nucléaire, placé sous strict contrôle de l'ONU.
Selon Ali Bagheri, la nouvelle équipe au pouvoir en Iran depuis juin, dirigée par le président ultraconservateur Ebrahim Raïssi, a soulevé des points supplémentaires à ce qui avait été négocié par ses prédécesseurs réformateurs.
Elle insiste depuis le début de ce nouveau round des négociations pour inscrire en bonne place "la levée complète des sanctions injustes et inhumaines" imposées à l'Iran.
Téhéran a présenté deux textes à la négociation, l'un sur les sanctions et l'autre sur les négociations sur son activité nucléaire.
"Avec les autres parties, nous récapitulons conjointement (les points à discuter, NDLR) afin que les divergences puissent être réglées et l'ordre du jour établi dans un cadre définitif", a affirmé M. Bagheri.
"Les deux parties sont sur le point de se mettre d'accord sur les questions qui devraient être à l'ordre du jour. C'est une évolution positive et importante car, au début, elles n'étaient même pas d'accord sur les questions à négocier", a déclaré M. Bagheri à l'agence officielle iranienne Irna.
"Il y a deux questions essentielles à résoudre: la première c'est la différence d'opinions des parties sur ce qui devrait être négocié et la deuxième ce sont les différences de position sur les questions proprement dites", a-t-il ajouté.
Après cinq mois d'interruption, les négociations pour sauver l'accord sur le nucléaire iranien ont repris le 29 novembre à Vienne. Elles réunissent les pays toujours parties à l'accord de 2015 soit la France, la Grande-Bretagne, l'Allemagne, la Chine, la Russie et l'Iran.
Les Etats-Unis, qui se sont retirés unilatéralement du pacte en 2018 et ont rétabli des sanctions contre Téhéran sous la présidence de Donald Trump, y participent indirectement.
L'accord de Vienne offrait à Téhéran la levée d'une partie des sanctions étouffant son économie en échange d'une réduction drastique de son programme nucléaire, placé sous strict contrôle de l'ONU.
Selon Ali Bagheri, la nouvelle équipe au pouvoir en Iran depuis juin, dirigée par le président ultraconservateur Ebrahim Raïssi, a soulevé des points supplémentaires à ce qui avait été négocié par ses prédécesseurs réformateurs.
Elle insiste depuis le début de ce nouveau round des négociations pour inscrire en bonne place "la levée complète des sanctions injustes et inhumaines" imposées à l'Iran.
Téhéran a présenté deux textes à la négociation, l'un sur les sanctions et l'autre sur les négociations sur son activité nucléaire.
"Avec les autres parties, nous récapitulons conjointement (les points à discuter, NDLR) afin que les divergences puissent être réglées et l'ordre du jour établi dans un cadre définitif", a affirmé M. Bagheri.
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