Une actrice française iconique, Isabelle Huppert, et une star de l’ère des séries, Lucas Bravo seront tous les deux mercredi à l’affiche Mrs Harris goes to Paris, production américano-britannique qui flirte avec les clichés sur la France et sa capitale.
Cette comédie dramatique est adaptée d’un roman américain de Paul Gallico. Elle met en scène une femme de ménage du Londres d’après-guerre (Lesley Manville), qui tombe en travaillant sous le charme d’une robe Dior.
Elle décide alors de s’envoler pour Paris pour s’acheter la plus belle des robes.
« Je souhaitais tourner avec des acteurs français pour que le film soit vraisemblable et authentique et ne pas tomber dans un conte déconnecté de la réalité », explique le réalisateur Anthony Fabian, qui a également enrôlé Lambert Wilson. Dans sa quête, la femme de ménage croise Madame Colbert (Isabelle Huppert), qui travaille pour la maison de haute couture Dior, ou encore André Fauvel (Lucas Bravo), le comptable timide au grand charme.
« Ce personnage si réservé me rappelle ma timidité pendant mon adolescence. Jouer ce rôle a eu un effet cathartique : je me suis libéré de ma petite blessure d’ado », avoue Lucas Bravo, 34 ans et 1,8 million d’abonnés sur Instagram, qui parle couramment anglais et dont la popularité a explosé après avoir joué le rôle de Gabriel dans la série Emily in Paris.
Pour Mrs Harris goes to Paris, qui flirte, comme la série diffusée sur Netflix, avec les clichés sur la France et Paris, ville de l’amour et de la mode, il a fallu recréer au mieux l’univers de la haute couture avec « l’aide de la maison Dior. Pendant la pandémie, c’était difficile d’obtenir certains tissus et on a eu besoin de plus de 9 mois pour créer les robes ! », raconte le réalisateur britannique.
Aux aléas du tournage s’ajoutent les voyages pendant la crise sanitaire entre Londres, Paris et Budapest où l’équipe a tourné près de trois mois. Pour l’acteur français Lucas Bravo, Mrs Harris goes to Paris est « une parenthèse de positivité loin du narcissisme des réseaux sociaux. Je crois qu’avec le contexte actuel, les gens n’ont pas besoin de froideur ou de condescendance, mais d’amour et de bienveillance ». Le réalisateur Anthony Fabian renchérit : le principal objectif du film est qu’« en sortant de la projection, les spectateurs soient gonflés d’optimisme et de joie ».
Cette comédie dramatique est adaptée d’un roman américain de Paul Gallico. Elle met en scène une femme de ménage du Londres d’après-guerre (Lesley Manville), qui tombe en travaillant sous le charme d’une robe Dior.
Elle décide alors de s’envoler pour Paris pour s’acheter la plus belle des robes.
« Je souhaitais tourner avec des acteurs français pour que le film soit vraisemblable et authentique et ne pas tomber dans un conte déconnecté de la réalité », explique le réalisateur Anthony Fabian, qui a également enrôlé Lambert Wilson. Dans sa quête, la femme de ménage croise Madame Colbert (Isabelle Huppert), qui travaille pour la maison de haute couture Dior, ou encore André Fauvel (Lucas Bravo), le comptable timide au grand charme.
« Ce personnage si réservé me rappelle ma timidité pendant mon adolescence. Jouer ce rôle a eu un effet cathartique : je me suis libéré de ma petite blessure d’ado », avoue Lucas Bravo, 34 ans et 1,8 million d’abonnés sur Instagram, qui parle couramment anglais et dont la popularité a explosé après avoir joué le rôle de Gabriel dans la série Emily in Paris.
Pour Mrs Harris goes to Paris, qui flirte, comme la série diffusée sur Netflix, avec les clichés sur la France et Paris, ville de l’amour et de la mode, il a fallu recréer au mieux l’univers de la haute couture avec « l’aide de la maison Dior. Pendant la pandémie, c’était difficile d’obtenir certains tissus et on a eu besoin de plus de 9 mois pour créer les robes ! », raconte le réalisateur britannique.
Aux aléas du tournage s’ajoutent les voyages pendant la crise sanitaire entre Londres, Paris et Budapest où l’équipe a tourné près de trois mois. Pour l’acteur français Lucas Bravo, Mrs Harris goes to Paris est « une parenthèse de positivité loin du narcissisme des réseaux sociaux. Je crois qu’avec le contexte actuel, les gens n’ont pas besoin de froideur ou de condescendance, mais d’amour et de bienveillance ». Le réalisateur Anthony Fabian renchérit : le principal objectif du film est qu’« en sortant de la projection, les spectateurs soient gonflés d’optimisme et de joie ».
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