Dans leur déclaration conjointe, diffusée au terme de leur entretien à la Maison blanche, jeudi, les présidents américain, Joe Biden, et français, Emmanuel Macron, ont « affirmé leur détermination à poursuivre leurs efforts conjoints pour inciter les dirigeants libanais à élire un président de la République et à mettre en place les réformes fondamentales ». Celles-ci sont exigées par la communauté internationale avant un déblocage des aides indispensables à une sortie de crise au Liban.
Il est prématuré d’avoir des informations sur la teneur des discussions entre MM. Biden et Macron au sujet du Liban. Les deux hommes ont abordé ce dossier dans le cadre, plus général, de celui du Moyen-Orient.
Si la crise libanaise a été évoquée lors du sommet franco-américain de Washington, c’est, rappelle-t-on, parce que la France et les États-Unis sont engagés avec l’Arabie saoudite dans des concertations pour favoriser un règlement du blocage institutionnel au Liban, sans président depuis le 31 octobre dernier et sans gouvernement doté de prérogatives constitutionnelles.
Cette coordination tripartite officielle pour un déblocage au Liban s’est manifestée clairement en septembre dernier, soit un mois avant la fin du mandat du président Michel Aoun, à la faveur d’une déclaration commune des représentants diplomatiques de Paris, Washington et Riyad, en marge de la 77e Assemblée générale des Nations Unies à New York. "Nos trois pays font part de leur soutien permanent à la préservation de la souveraineté, la sécurité et la stabilité libanaise du Liban et jugent fondamentale l’élection d’un président rassembleur, capable de réunifier les Libanais et d’œuvrer avec les partenaires régionaux et internationaux pour régler la crise dans laquelle le pays est plongé », avaient-ils affirmé au nom de leurs gouvernements respectifs, en appelant également à la mise en œuvre des réformes structurelles, nécessaires pour une sortie de crise.
Il est prématuré d’avoir des informations sur la teneur des discussions entre MM. Biden et Macron au sujet du Liban. Les deux hommes ont abordé ce dossier dans le cadre, plus général, de celui du Moyen-Orient.
Si la crise libanaise a été évoquée lors du sommet franco-américain de Washington, c’est, rappelle-t-on, parce que la France et les États-Unis sont engagés avec l’Arabie saoudite dans des concertations pour favoriser un règlement du blocage institutionnel au Liban, sans président depuis le 31 octobre dernier et sans gouvernement doté de prérogatives constitutionnelles.
Cette coordination tripartite officielle pour un déblocage au Liban s’est manifestée clairement en septembre dernier, soit un mois avant la fin du mandat du président Michel Aoun, à la faveur d’une déclaration commune des représentants diplomatiques de Paris, Washington et Riyad, en marge de la 77e Assemblée générale des Nations Unies à New York. "Nos trois pays font part de leur soutien permanent à la préservation de la souveraineté, la sécurité et la stabilité libanaise du Liban et jugent fondamentale l’élection d’un président rassembleur, capable de réunifier les Libanais et d’œuvrer avec les partenaires régionaux et internationaux pour régler la crise dans laquelle le pays est plongé », avaient-ils affirmé au nom de leurs gouvernements respectifs, en appelant également à la mise en œuvre des réformes structurelles, nécessaires pour une sortie de crise.
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