Le chef des « Forces libanaises », Samir Geagea, a indiqué, dans une interview accordée à « Al-Ahram » que le Premier ministre désigné, Najib Mikati, devrait être « précis dans l’exercice de ses fonctions ». Une déclaration que l’on comprend à la lumière de la convocation de ce dernier à une réunion du Conseil des ministres lundi, alors que le pays se retrouve depuis la fin du mandat Aoun sans président de la République. M. Geagea a également sollicité le président du Parlement, Nabih Berry, à « exercer ses fonctions et à intervenir pour empêcher les blocs parlementaires d’entraver les élections présidentielles ».
Il a, dans ce sens, rappelé que le député soutenu par les Forces libanaises est le candidat Michel Moawad puisqu’il « bénéficie d’un assentiment tant sur le plan régional qu’international ». D’après M. Geagea, « il est l’un des rares qui puisse restaurer la confiance de la communauté arabe (notamment les pays du Golfe) et internationale ». Il n’a pas exclu pour autant la possibilité pour les Forces libanaises d’adhérer au courant selon lequel la candidature du commandant en chef de l’armée, le général Joseph Aoun, serait avancée, « à condition que la Constitution libanaise soit amendée ». Il a, cependant, insisté sur son rejet total de l’arrivée au pouvoir du chef du Courant patriotique libre, Gebran Bassil ou du chef des Marada, Sleiman Frangié. Sur sa propre accession à la tête de l’Etat, M. Geagea a affirmé que le Hezbollah et ses alliés ne sont pas du tout prêts à permettre ceci.
Au sujet des relations entre le Liban et l’Egypte, le chef des FL a salué le rôle crucial qu’a joué ce pays dans les circonstances difficile qu’a traversées le pays du Cèdre, notamment au lendemain de l’explosion du port de Beyrouth et pendant la crise sanitaire liée au coronavirus. Quant aux rapports avec l’Arabie saoudite, M. Geageag a rappelé qu’ils datent d’il y a longtemps, et que cette liaison avait commencé grâce a patriarcat maronite. « C’est une relation spéciale basée sur l’amitié. Bien que le Royaume s’intéresse de près au Liban il ne s’immisce pas pour autant dans les affaires internes du pays ».
Il a, dans ce sens, rappelé que le député soutenu par les Forces libanaises est le candidat Michel Moawad puisqu’il « bénéficie d’un assentiment tant sur le plan régional qu’international ». D’après M. Geagea, « il est l’un des rares qui puisse restaurer la confiance de la communauté arabe (notamment les pays du Golfe) et internationale ». Il n’a pas exclu pour autant la possibilité pour les Forces libanaises d’adhérer au courant selon lequel la candidature du commandant en chef de l’armée, le général Joseph Aoun, serait avancée, « à condition que la Constitution libanaise soit amendée ». Il a, cependant, insisté sur son rejet total de l’arrivée au pouvoir du chef du Courant patriotique libre, Gebran Bassil ou du chef des Marada, Sleiman Frangié. Sur sa propre accession à la tête de l’Etat, M. Geagea a affirmé que le Hezbollah et ses alliés ne sont pas du tout prêts à permettre ceci.
Au sujet des relations entre le Liban et l’Egypte, le chef des FL a salué le rôle crucial qu’a joué ce pays dans les circonstances difficile qu’a traversées le pays du Cèdre, notamment au lendemain de l’explosion du port de Beyrouth et pendant la crise sanitaire liée au coronavirus. Quant aux rapports avec l’Arabie saoudite, M. Geageag a rappelé qu’ils datent d’il y a longtemps, et que cette liaison avait commencé grâce a patriarcat maronite. « C’est une relation spéciale basée sur l’amitié. Bien que le Royaume s’intéresse de près au Liban il ne s’immisce pas pour autant dans les affaires internes du pays ».
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